Médecine Progrès Ou Dérive

Problématique: Le clonage, limite scientifique ou éthique ? (progrès ou danger ?) Sommaire : Introduction I- Où en est-on aujourd’hui ? A) Rappel historique B) Législation sur le clonage II- Le clonage, une avancée scientifique A) En quoi consiste le clonage ? B) Les différentes types de clonage C) Un cas particulier de clonage, Dolly la brebis III- Le clonage, un problème d’éthique A) Qu’Est-ce que l’éthique ? B) Le clonage, un élément de réflexion et de débat Conclusion

Les médecins sous pression des laboratoires Même si elle réduit ses effectifs de visiteurs médicaux, l’industrie pharmaceutique consacre au moins trois milliards d’euros par an à la promotion de ses médicaments auprès des médecins Médecin généraliste à Chelles (Seine-et-Marne), Michel Doré a ses habitudes. Tous les lundis matin, il reçoit trois visiteurs médicaux, sur rendez-vous. Et ensuite, c’est fini pour le reste de la semaine. « Je préfère poser des limites car on est très sollicité

toutes acceptées par la loi. * Classification par moyen employés Active : administrer volontairement des substances dans le but d’entraîner la mort soit à la demande du patient ou d’un proche soit sans l’accord du malade avec l’initiative d’un médecin. Passive : interrompre les traitements en cours qui permettent au patient de survivre (le débrancher). Aide au suicide : le patient accompli lui-même l’acte avec l’aide d’un tiers qui lui fournit des renseignements sur les moyens ou la mise

revolutionnaire (fête nationale, garde nationale ..) conscription ( = service militaire) Propagation : Par napoléon Yohan Fichte (Discours à la nation allemande) Richard R. Kipling Dérives : Xénophobie voire même racisme Il existe trois types de nationalisme : Nationalisme affectif qui fait appel aux sentiments Nationalisme rationnel et scientifique Nationalisme totalitaire Attention : Nation / Nationalisme / Patrie /

| Discours Benoit XVI en novembre 2008. Contexte : discours du pape aux participants d’un congrès internationnal sur le thème du don d’organes organisé par l’Académie pontificale pour la vie. Dialogue fécond entre politiques, médecins, religieux. Ce qu’est le don d’organe • Don d’organe = forme particulière de charité (charité = amour dans le sens alliance) dans une époque marquée par l’égoïsme. • Importance d’entrer dans la logique de la gratuité (opposée à la

le cadre de la lutte contre ce qu'on commence à nommer acharnement thérapeutique que l'on revient à un emploi plus proche du sens initial, tout en lui ajoutant des acceptions nouvelles. Dès lors que les progrès de la médecine dans la préservation et le prolongement de la vie ont connu des progrès décisifs, s'est posée la question des limites à poser aux pratiques de «maintien de la vie». Le débat public sur ce sujet amena la profession médicale, les philosophes et les théologiens à débattre du sujet

Le texte que nous mettons en ligne aujourd'hui a paru en juillet 2004 dans la revue Médecine et Hygiène, 78, Av. de la Roseraie, CH- 1205 Genève. Il est tiré d'une conférence que le professeur D. Sicard avait prononcée le 20 mars 2004 à la Chaux-de-Fonds en l'honneur du professeur Denis Müller lors de la remise du prix que lui a décerné l'institut neuchâtelois. Le mot « progrès » est un mot aussi galvaudé que magique. C’est « le pas collectif du genre humain » selon Victor Hugo, « le paganisme

ce qui procure une sensation de profondeur : - Au 1er plan, une chaise en bois, dont nous ne voyons qu’une partie. C’est le mobilier typique des années 50, bois et assise en tissu. A côté, un petit fauteuil à bascule noir, un rocking chair . Ce médecin aurait-il l’habitude de soigner les enfants?. Le fait que nous ne voyons pas la chaise en entier, nous donne l’illusion que nous sommes à l’intérieur de la scène et que nous aussi, sommes dans ce cabinet médical. Peut-être dans le rôle de la mère

L’essor technologique et l’idée de progrès Longtemps, le développement de la technique s’est fait quasiment sans bornes ni limites. Le présupposé d’un progrès, à la fois fin (but de l’action technique) et produit (résultat obtenu grâce à son intervention), lui conférait un pouvoir souverain. Conçue comme autorégulatrice et, de plus en plus, comme autofinalisée, la technique a répondu à sa propre expansion ou à des besoins par elle-même créés, dans une logique de surenchère, ou dans une forme de

fait appel aux dons d’ovules et de sperme ; les recherches, ayant comme objet l’embryon et les cellules embryonnaires ; le dépistage de maladies faisant appel aux gènes. Elle cherche à : répondre le mieux possible aux questions soulevées par le progrès scientifique et technique, au regard des valeurs de notre société ; garantir le respect de la dignité humaine et la protection des plus vulnérables contre toute forme d’exploitation.  La réflexion bioéthique s'interroge ainsi sur les principes que