Parcs provinciaux de l'Ontario

©2004, Imprimeur de la Reine pour l’Ontario Imprimé en Ontario, Canada Des exemplaires supplémentaires de cette publication sont disponibles au bureau du ministère des Richesses naturelles à l’adresse suivante : Parc provincial Rainbow Falls a.s. Parcs Ontario Zone Nord-ouest 435 rue James Sud, bureau 221d, Thunder Bay (Ontario) P7E 6S8 (807) 475-1231 51750-1 0.5k P.R. 01 08 04 ISBN – 0-7794-6490-7 Plan de gestion du parc Rainbow Falls Table des matières Déclaration des valeurs environnementales

L'importance de son rôle est en grande partie liée aux événements historiques. Aujourd'hui, elle doit surtout sa renommée aux attraits du parc provincial de l'Ours polaire. L'écozone se situe en majeure partie dans le nord de l'Ontario, mais se prolonge jusque dans le Manitoba et, dans une moindre mesure, au Québec. Elle occupe environ un quart de l'Ontario et 4 % du Canada, couvrant. Environ 10 000 personnes vivent dans cette région, soit 4 % de la population du Canada. Les seules écozones où la

Nouvelle-Écosse et de Terre-Neuve négocient un projet de Fédération. Pour assurer l’assentiment du Canada-Est et des Maritimes à ce projet, on s’entend sur le principe d’une fédération, c’est-à-dire la présence d’un gouvernement central et de gouvernements provinciaux exerçant chacun des compétences particulières. On répartit les compétences et les revenus sur les deux paliers de gouvernement. Le gouvernement fédéral centralisé, responsable des grandes questions économiques, aurait la mainmise sur toutes les

pour ce qui est de l’échelle nationale, l’Alberta possède 40% du cheptel de bovins reproducteurs. La Saskatchewan se classe au deuxième rang avec environ 25%, puis le Manitoba avec 12%, l’Ontario avec 10%, la Colombie-Britannique avec 6% et enfin le Québec avec 5%. Si l’on jette un coup d’œil à l’échelle provinciale, nous constatons que le Québec agricole est partagé en trois grandes zones de production aux caractéristiques physiques et économiques principales o La zone centrale constituée de la

qui sont garantis par le droit canadien et qui reflètent nos traditions, notre identité et nos valeurs communes. Les règles juridiques du Canada proviennent entre autres des lois adoptées par le Parlement du Canada et les assemblées législatives provinciales, de la common law, du code civil de la France et de la tradition constitutionnelle héritée de la GrandeBretagne. Ensemble, ces règles préservent pour les Canadiens une tradition de liberté ordonnée vieille de 800 ans, qui remonte à 1215, année

énergétique canadienne : l’Institut canadien des politiques énergétiques, la Energy Framework Initiative, et les membres du Winnipeg Consensus sont ainsi tous très actifs dans le développement d’une telle harmonisation des différentes réglementations provinciales en matière énergétique. Paradoxalement, dans le secteur électrique où les cadres réglementaires sont plus divergents d’une province à l’autre que dans le secteur des hydrocarbures, les acteurs sont bien moins motivés à pousser une intégration

qui sont garantis par le droit canadien et qui reflètent nos traditions, notre identité et nos valeurs communes. Les règles juridiques du Canada proviennent entre autres des lois adoptées par le Parlement du Canada et les assemblées législatives provinciales, de la common law, du code civil de la France et de la tradition constitutionnelle héritée de la Grande-Bretagne. Ensemble, ces règles préservent pour les Canadiens une tradition de liberté ordonnée vieille de 800 ans, qui remonte à 1215, année

d’une assemblée représentative élue au scrutin populaire. L’Île-du-Prince-Édouard devait suivre en 1773, puis successivement le Nouveau-Brunswick en 1784 (à sa création), le Haut-Canada et le Bas-Canada (qui devaient devenir respectivement l’Ontario et le Québec) en 1791, et Terre-Neuve en 1832. En janvier 1848, la Nouvelle-Écosse a également été la première région du Canada à obtenir un gouvernement responsable, c’est-à-dire qui doit répondre à l’assemblée et qui est révocable par la

permanents pour les Comptes publics et la Pêche, l'Industrie et le Tourisme, et la Main-d'oeuvre. Elle est réélue lors de l'élection provinciale de mai 1989 et nommée ministre du Tourisme et des Parcs. Le 14 novembre 1991, madame Guptill est nommée ministre de la Main-d'oeuvre et ministre responsable du Statut de la femme. Elle est réélue lors de l'élection provinciale de mars 1993 et nommée présidente de l'Assemblée législative. Madame Guptill est également membre de l'Association parlementaire du

primordial pour le développement de nos sociétés. Selon l'Agence Internationale de l'Energie (AIE), la consommation d’électricité dans le monde devrait augmenter de 75 % entre 2007 et 2030, passant de 19 756 TWh à 34 292 TWh. Par ailleurs au niveau provincial, on peut constater une augmentation de la consommation entre 1983 et 2007 de plus de 72%, selon des données de l’université de Montréal. Ceci étant dû principalement au développement industriel mais aussi par l’augmentation de la consommation résidentielle