Passage Naturaliste Dans Nana

« Pensées sur la religion ». « En ouvrages de goût, en musique, en poésie, en peinture, c’est le goût qui tient lieu de montre ; et celui qui n’en juge que par des règles en juge mal ». Voltaire, « Lettres philosophiques ». « Que m’importent tes passages de ton savant, ton dessin pur et correct, la vigueur de ton coloris, la magie de ton clair-obscur, si ton sujet me laisse froid ? La peinture est l’art d’aller à l’âme par l’entremise des yeux ». Diderot, « Salon de 1759 ». « Toute la peinture est

théâtralité. Après la situation de l’événement dans le temps (l. 1 à 9), le conteur décrit l’aspect général de la charrette (l. 9 à 14) pour développer le portrait du protagoniste (l. 14 à 29) et celui du comédien plus âgé (l. 29 à 35). Le passage se clôt sur le spectacle que le convoi des comédiens constitue pour les gens de la ville du Mans et la révélation de leurs noms (l. 35 à 51). 2. La formule inaugurale pour désigner le moment de la journée est une personnification (le soleil

théâtralité. Après la situation de l’événement dans le temps (l. 1 à 9), le conteur décrit l’aspect général de la charrette (l. 9 à 14) pour développer le portrait du protagoniste (l. 14 à 29) et celui du comédien plus âgé (l. 29 à 35). Le passage se clôt sur le spectacle que le convoi des comédiens constitue pour les gens de la ville du Mans et la révélation de leurs noms (l. 35 à 51). 2. La formule inaugurale pour désigner le moment de la journée est une personnification (le soleil

exemple – où je pris, je l’avoue, et comme à peu près tous les enfants de ma génération, un plaisir assez vif, mais stupide – un plaisir non plus vif heureusement que celui que j’avais pris d’abord à écouter mon père me lire des scènes de Molière, des passages de l’Odyssée, La Farce de Pathelin, les aventures de Sindbad ou celles d’Ali-Baba et quelques bouffonneries de la Comédie italienne, telles qu’elles sont rapportées dans les Masques de Maurice Sand, livre où j’admirais aussi les figures d’Arlequin

Jeanne. Son regard est son arme la plus efficace et nous verrons que son langage est très envoûtant : « le charme langoureux de cet oeil faisait croire à la profondeur de son regard et donnait de l'importance aux moindres pensées ». (Soulignons, au passage, que ses œillades langoureuses ne sont pas sans nous rappeler la vanité ridicule de Rodolphe qui fascine pourtant tant Emma dans Madame Bovary). Le jeune homme connaît son charme qui fait se retourner aussi bien « la belle dame hautaine » que « la

une propriété à Duclair, celle de Déville allant être partiellement expropriée pour la construction d’une ligne de chemin de fer. Mme Flaubert est à Rouen pour « ordonner et rapporter des denrées » pour le repas du lendemain Le docteur Toirac, de passage à Rouen, laisse à l’Hôtel-Dieu pour Caroline la traduction anglaise du livre de Cloquet sur La Fayette. Caroline trouvera l’ouvrage fort ennuyeux. La famille Flaubert donne un grand repas pour la Saint Achille. 16 Fin avril – début mai 1843

fr/vous-premiere-fois Que mettez-vous dans votre valise ? Oui,bien sûr, maillot, trousse de toilette… Mais quelle est votre arme secrète,ce que personne d’autre que vous n’aurait pensé à emporter ? www.cosmopolitan.fr/vous-valise Un collage d’échantillon Nana Shorty sur sa page de publicité, formats classique et poche, France métropolitaine. Un encart abonnement jeté, Suisse presstalis, format poche uniquement. Cosmo est sur le net! Retrouvez-nous sur www.cosmopolitan.fr. 10 COSMOPOLITAN août 2010

Mémoire de Maîtrise phase théorique/OUOBA Maxime DEDICACE Je dédie ce travail : A mes Très chers Parents pour les sacrifices consentis pour ma réussite scolaire A mes Frères et Sœurs pour leurs soutiens multiformes A ma Bien aimée Tante Nana Kouldiati et mes cousins A Monsieur et Madame Ganamé Soumaïla et Albertine Et à chaque jeune africain qui n’arrive pas à poursuivre ses études faute de moyens. Mémoire de Master1/P. Maxime OUOBA 2 REMERCIEMENTS Nous sommes reconnaissants

traversant le Fouta-Djallon, royaume théocratique fondé au XVIIIe siècle et qui a joué un rôle déterminant dans la traite négrière. L’enquête menée dans cet ancien royaume par notre assistant, le Professeur Ismaël Barry, est fort instructive. Voie de passage obligée, le Fouta a joué un double rôle. Les Almami et les chefs faisaient des esclaves par la guerre ou les achetaient aux traitants mandingues. Une partie des esclaves étaient installés dans les hameaux ou villages d’esclaves appelés rundés pour

c’est ça ? Le divisionnaire Cercaire avait posé la question d’une voix sonore. — Rien que des spectateurs ? 17 Silence. Petite foule molletonnée au souffle de coton blanc. Pelote frileuse de laine des Pyrénées qui s’entrouvrit juste pour le passage de la caméra télé. — C’est pour vous que ce garçon est mort, madame ! Cercaire venait de s’adresser à une Vietnamienne du premier rang, une minuscule vieille, en robe thaï toute droite, ses grosses chaussettes de jésuite fichées dans des socques