Perruque

qu’il énonce, et qu’il ne comprend absolument point l’endroit dans lequel il se situe. Nous pouvons citer : « ceux qui habitent cette contrée » qui désigne les courtisans. Ou encore « Une épaisseur de cheveux étrange » qui désigne en réalité les perruques porter par les hommes. Pour insister d’avantage il emploi le champ lexical de l’apparence : « beauté », « belle », « plaire » en décrivant les femmes du pays. Ce texte est cependant un texte descriptif qui ne sollicite aucune argumentation, semblable

narrateur :   La description ne semble pas observer de hiérarchie dans les remarques ni de structure rigoureuse : les hommes et les femmes, la perruque et enfin les grands et le roi. Tout semble mis sur le même plan, sans mot de liaison (parataxe) ;   Des termes impropres : « peindre » (leurs lèvres) au lieu de « maquiller » ; « temple », « cheveux étrangers » (perruque) ;   Des mots qui fonctionnent comme des modalisateurs (avec « semblent », « paraît ») et qui soulignent la méconnaissance, des approximations

plusieurs colliers, une tunique plissée ainsi qu’une couronne de pharaon surmontée d’un uræus (le cobra, roi des serpents, symbolisant le pouvoir royal), posée sur sa perruque tressée. • Cléopâtre, de Joseph L. Mankiewicz (1963) Elizabeth Taylor prête ses traits à la reine d’Egypte. Elle a une robe bleue et rose, mais pas de perruque. En revanche, elle porte la couronne de la Basse-Egypte, sur laquelle est apposée l’ uræus. Elle tient croisés sur sa poitrine le sceptre et le fouet, symboles de pouvoir

Charlène RICHARD, Sephora MBAKI et Marine LIEGEOIS vous présentent leur nouvel pièce a succès ! * Remy : Alex (le beau gosse ) bogossitude * Charlène : Monica (la rousse jalouse qui tue sa pote) perruque rousse * Séphora : Samantha (la blonde qui pique le mec a sa pote et qui meurt) perruque blonde * Marine : Inspecteur (trop sexyyy) Loupe, lunette, manteau, chapeau, pipe, fausse moustache SCENE 1 Deux filles entrent dans un parc bras dessus bras dessous… Samantha : Alors tu aimes

tout en ignorant qu’il était le centre de la moquerie collective provoqué par la perte de sa perruque : « Il entre à l’appartement et passe sous un lustre où sa perruque s’accroche et demeure suspendue : tous les courtisans regardent et rient; Ménalque regarde aussi et rit plus haut que les autres et cherche des yeux dans toute l’assemblée où est celui qui montre ses oreilles et à qui il manque une perruque.» L.17-21. Également, Jean de La Bruyère utilise la gradation pour expliquer l’énormité du désordre

ou la trompeuse apparence. Quand Louis XIV décida de porter la perruque est rédigée par Joël Cornette. Il raconte comment la perruque a été introduite à la Cour de France, suite à une maladie du jeune roi qui lui fit perdre ses cheveux. Le monde des courtisans étant ce qu’il était à l’époque, tout le monde suivit le roi et porta perruque, on créa de nombreuses charges de barbiers-perruquiers qui devinrent des artistes, les perruques devinrent de plus en plus lourdes et volumineuses. Les techniques

Versailles en 1696.Type du texte: descriptif.Structure du texte: Pas d'introduction ni de conclusion.I un regard étranger:1 la non identification du pays.- Champs lexical de l'anonymat (ceux qui habitent cette région)- Périphrases lignes 15 et 16 : Perruque qui symbolise l'hypocrisie car visage caché.2 - les énonciations (effet de miroir) dans la première phrase: jeunes opposés à vieillard.- redondance- construction en parataxe- il connote les vieillards3: l'étrangerpériphrases des choses communes.

fait avec la passion qu’elle éprouve envers le Duc de Nemmours. De plus, elle décidera un jour d’acheter une perruque qui la liera à Smita. C’est un bel exemple de moral dans ce livre. Les cheveux de cette perruque proviennent du temple où Smita s’est rendu pour essayer d’échapper à la misère. Elle se donne toute entière à son dieu, c’est donc vraiment un personnage moral. Cette perruque n’aurait pas pût être réalisé sans l’aide de Giulia, une jeune femme pleine de bonté qui ne s’attarde pas sur

représente la vie de trois femmes fortes (Smita, Giulia et Sarah). Et d’une autre part le cheveu est représenté très fortement dans cet ouvrage car c’est les cheveux de Smita (des Indiens) qui sont donner dans l’atelier de Giulia qui va confectionner des perruques et dont une va être porter par Sarah. Et c’est ce lien qui va unir cette tresse donc ces trois vies.À quel genre littéraire appartient l’œuvre, justifier /2ptsC’est un roman, une fiction domestique, car cette œuvre fictive parle d’enjeux familiaux

* La description ne semble pas observer de hiérarchie dans les remarques ni de structure rigoureuse : les hommes et les femmes, la perruque et enfin les grands et le roi. Tout semble mis sur le même plan, sans mot de liaison (parataxe) ; * Des termes impropres : « peindre » (leurs lèvres) au lieu de « maquiller » ; « temple », « cheveux étrangers » (perruque) ; * Des mots qui fonctionnent comme des modalisateurs (avec « semblent », « paraît ») et qui soulignent la méconnaissance, des approximations