Personnage De Gwynplaine

introduction : On reconnaît dans Victor Hugo le génial créateur du personnage de Quasimodo, cet être contrefait et généreux, désespérément attaché à la belle Esméralda. Cette fascination personnelle et romantique pour le mariage du laid et du beau, cet art de rendre les contrastes violents entre l'apparence et l'être sont également à l’œuvre dans L’homme qui rit. Réduit à l'état de monstre grimaçant par la méchanceté des hommes, Gwynplaine souffre lui aussi de sa difformité. Son rire irrésistible s'impose

pauvres gens. Notre extrait présente le personnage principal du roman philosophique L’homme qui rit publié en 1869. Gwynplaine est un jeune homme semblable à tout mais qui a eu le malheur d'être capturé par des bandits qui l'on défiguré en lui taillant le visage de sorte qu'il se retrouve avec un sourire permanent, qu'il pleur ou qu'il rit. Ce texte est de registre ironique et pathétique. Quels sont les éléments mettant en avant la défiguration de Gwynplaine ? Nous verrons en tout premiers lieu, le

Arrivé sur le palier, il fait une étrange rencontre. Un vieillard vint à monter l'escalier. À la bizarrerie de son costume, à la magnificence de son rabat(1) de dentelle, à la prépondérante sécurité de la démarche, le jeune homme devina dans ce personnage(2) ou le protecteur ou l'ami du peintre ; il se recula sur le palier pour lui faire place, et l'examina curieusement, espérant trouver en lui la bonne nature d'un artiste ou le caractère serviable des gens qui aiment les arts ; mais il aperçut quelque

Sujet : Le personnage de roman du XVIIe Siècle à nos jours Corpus: Texte A : extrait d’Honoré de BALZAC, Le Chef d’œuvre inconnu (1832) Texte B: extrait de Victor HUGO, L’homme qui rit (1869) Texte C : extrait de Marcel PROUST, Le Temps retrouvé (1927) Question: Ces portraits donnent-ils l’impression de la réalité ? /4pts Commentaire /16 Corpus: Texte A : extrait d’Honoré de BALZAC, Le Chef d’œuvre inconnu (1832) L’action de ce roman se déroule en 1612. Fraîchement débarqué

SÉRIE ES / S   Objet d'étude : le roman et ses personnages ; visions de l'homme et du monde. Textes :  Texte A - Honoré de Balzac, Le Chef-d'œuvre inconnu, 1832. Texte B - Victor Hugo, L'Homme qui rit, 1869. Texte C - Emile Zola, L'Assommoir, 1877. Texte D - Marcel Proust, Le Temps Retrouvé, 1927.   TEXTE A - Honoré de Balzac, Le Chef-d'œuvre inconnu, 1832.  [L'action de ce roman se déroule en 1612. Fraîchement débarqué à Paris, un jeune peintre ambitieux, Nicolas Poussin, se rend au domicile

Le texte est un discours prononcé par le personnage de Gwynplaine, extrait du livre L'Homme qui rit écrit par Victor Hugo en 1869. Hugo, en faveur de la défense des plus démunis, s'est lancé dans une carrière politique engagée. Afin de dénoncer la misère dans laquelle le peuple français du XIXème siècle vit, il écrit également l'un des romans les plus emblématiques de la littérature française : Les Misérables. L'auteur écrit cette prmière oeuvre durant la révolution industrielle en France, qui entraîne

moquer. - II ne pense qu'à rire son travail n'avance pas. - J'ai dit cela pour rire , ne te fâche pas ! - Il ne faut pas rire , du dernier de la course. - Ce champion se rit , de toutes les difficultés. Imaginez une scène comique entre deux personnages qui emploieront au moins quatre des expressions suivantes : avoir une peur bleue - casser du sucre sur le dos de quelqu'un - donner sa langue au chat - courir comme un dératé - mettre la puce à l'oreille - être dans ses petits souliers. ……………

dans son ensemble cela forme un tout: de loin on peut distinguer des formes et des personnes. Cela peut être assimilé à la littérature dans le sens où ce ne ne sont pas les mots qui créent le ressenti mais c’est bien l’assemblage des mots, des personnages, des lieux et des situations qui donnent l’atmosphère ou provoquent l’émotion. On peut aussi remarquer dans l’oeuvre des sortes de cercles qui paraissent être comme des ricochets, cela peut-être assimilé à l’image que l’on peut avoir des champs

du monstre : Le monstre dont parle le texte est Gwynplaine. Gwynplaine incarne une monstruosité physique mais aussi morale. Monstruosité physique : Gwynplaine avait une bouche qui s'ouvrait jusqu'aux oreilles, elle est comparée a un hiatus. Il avait des oreilles qui se repliaient jusque sur ses yeux, un nez informe comparé a une protubérance camuse avec deux trous qui étaient les narines. Deux yeux pareils à des jours de souffrance, Gwynplaine avait pour face un écrasement. C'était un bateleur

le dessus sur ses choix éthiques. Ainsi, dans l’œuvre de Corneille intitulée Médée , le personnage éponyme devient un monstre immoral en commettant le meurtre de ses propre enfants, malgré l’amour qu’elle a pour eux, dans le but de se venger de son mari, Jason. Cette dernière s’enfuit ensuite grâce un char tiré par des dragons. De cette manière, le personnage de Médée est donc monstrueux dans la mesure de son immoralité. Sa volonté de faire le mal a pris le dessus sur sa