Peur(s) du noir

Séquence tonique. « Peur du noir », court métrage ; Film d'animation d'1h25, réalisé en 2008 par Blutch, Charles Burns, Marie Caillou, Pierre Di Sciullo, Lorenzo Mattoti et Richard Mc Guire. Divisé en six séquences, ce film nous décline toutes nos peurs intimes, secrètes, nos phobies... Le sujet sur lequel je souhaite développer ma critique est la première séquence de Blutch. La séquence de Blutch est complexe ; Un homme promenant quatre chiens, et les laissant attaquer et tuer quatre

Léa n'aime pas le noir. Elle n'en a pas peur, mais elle n'aime pas quand il fait nuit. Quand on lui dit qu'il faut dormir, elle n'a rien contre, elle voudrait bien dormir même, parce que souvent, elle se sent vraiment fatiguée, le soir, après sa journée d'école. Mais elle ne peut pas rester seule dans la nuit, elle a peur pour les autres.Son grand frère par exemple, il dit qu'il n'a peur de rien. Pourtant le soir, il veut toujours qu'on lui laisse de la lumière, pour lire soi-disant. En réalité,

Voici la mort du ciel en l'effort douloureux Qui lui noircit la bouche et fait saigner les yeux. Le ciel gémit d'ahan, tous ses nerfs se retirent, Ses poumons près à près sans relâche respirent. Le soleil vêt de noir le bel or de ses feux, Le bel oeil de ce monde est privé de ses yeux ; L'âme de tant de fleurs n'est plus épanouie, Il n'y a plus de vie au principe de vie : Et, comme un corps humain est tout mort terrassé Dès que du moindre coup au coeur il est blessé, Ainsi faut que le monde

sorcier qu’on appelle « le vieux » veut sacrifier l’enfant noir à son retour de Santiag de Cuba qui est la ville des dieux. Alors en attendant le retour du vieux, le petit enfant noir décide de le rejoindre. En arrivant dans la ville des dieux, l’enfant noir découvre que le vieux est mort. Quand il revient dans son village, il découvre qu’il y a eu un incendie et que tout le monde a disparu. Il décide de les retrouver. Sur son chemin, l’enfant noir s’est fait un ami, un ours. Il finit par les retrouver

La xénophobie, une peur comme les autres. On a tous une phobie. Si si, cherchez bien, vous avez à coup sûr horriblement peur de quelque chose : des araignées, du noir, de l’échec ou des fantômes! Toutes ces phobies sont claires et faciles à comprendre, quand ont à peur des araignées, on a peur des araignées point barre, pareil pour les fantômes. Mais la phobie dont je vais vous parlez aujourd’hui ne met pas tout le monde d’accord. En tous cas pas moi ! Cette peur c’est la Xénophobie. Ah oui c’est

Grille d’analyse d’album Titre : Loup Noir. Editeur et collection : Les albums casterman Auteur(s) : Guillopé Illustrateur : Guillopé Antoine Antoine Format Mise en page Couverture (titre/illustration) Le titre écrit en blanc sur fond noir, avec comme illustration des yeux blanc qu’on imagine être ceux du loup. Effets graphiques et typographie du texte Contraste noir et blanc. Effet cinématographique. Rapport texte/illustrations Thème Structure du texte Personnages

Mes Peur[S] J'ai peur de la mort ,sûrement parce que je suis jeune .. Ma façon de penser est que plus on s'approche de la mort ,plus on a l'impression qu'elle est irréelle et éphémère .Alors qu'en fait elle se rapproche de plus en plus mais lentement pour que vous ayez tout le temps de mesurer si notre vie fut vraiment vivable . J'ai aussi peur de la vie ,peur de ce qu'elle me réserve .. Sûrement des désagréments ,des joies ,des regrets ,des erreurs . Le fait de ne pas savoir si je réussirais

et la quatrième de couverture : Le titre est écrit en script minuscule et est de couloir noir, le noir représente la peur. Nous pouvons alors en déduire que l’histoire fait un peu peur, le titre le confirme « Affaires de loup » un animal tel que le loup fait souvent peur aux enfants. La couverture de ce livre contient des couleurs assez sombre, les traits du loup sont très gros et le loup est représenté en noir. On peut voir à travers les yeux du loup une tristesse avec une gueule fermée ou on voit

XIXe siècle, le surnaturel exprime une inquiétude envers les habitants de l’époque. Dans le courant fantastique, il y a présence de surnaturel, comme dans la nouvelle d’Edgar Allan Poe qui s’intitule Le chat noir. En effet, le narrateur serait pris de remords, de haine et de peur envers le chat noir dit surnaturel. Tout d’abord, la haine du narrateur face au félin est ressenti de plus en plus qu’on avance dans la nouvelle. Au début, il aime l’animal comme s’il était un ami, un compagnon. Il aimait

envers elle. Dans le passage proposé, la fillette doit aller jusqu'au puit pour ramener de l'eau à ceux qui l’hébergent, alors que la nuit tombe et que le noir est sa plus grande phobie. Voyons en quoi cette foret effraie et est fantastique par l’intermédiaire de la description de la nature elle-même et de la vision de Cosette, qui à une peur démesurée de cette foret. Tout d'abord, nous pouvons voir que la nature est décrite lorsque le soleil se couche. En effet, « le ciel était couvert de vastes