Phèdre Scène 7 Acte V Vers 1622 à 1644

Acte V, scène 7 : voici les dernières paroles que Phèdre adresse à Thésée avant de mourir PHEDRE 1622 Les moments me sont chers, écoutez-moi, Thésée. C'est moi qui sur ce fils chaste et respectueux Osai jeter un oeil profane, incestueux. 1625 Le ciel mit dans mon sein une flamme funeste ; La détestable OEnone a conduit tout le reste. Elle a craint qu'Hippolyte, instruit de ma fureur, Ne découvrît un feu qui lui faisait horreur.

iAnalyse orale : Phèdre acte V, scène 7Analyse orale de la prof : · Je vais analyser l’extrait de phèdre · On est dans l’acte… scène · Phèdre pièce de théâtre par Racine en 1677 · Tragédie classique en 5 actes · Écrite en vers, alexandrin au rime suivie et alternance de rimes masculine et féminine · Écrit pendant le courant du clacissisme (et les

KIKOOOOOOOO xDeiiiiiiiii TROP LOL CE SITE ! MDRRRRRRR' J'ADOOOOOOOORE ! TROP SA MERE ! Savez-vous qu'un pingouin a des genoux ? LOLLILOL ! Je vous en apprend des trucs hein ! Haha, bref, je m'ennuie ce soir. J'ai un commentaire à faire sur Phèdre de MONSIEUR JEAN RACINE. C'est vraiment nul cette pièce, je comprend la moitié de leurs mots, et puis, c'est tellement pathétique -.-' Bref, le commentaire à faire est pour demain, et elle nous laisse 1 jour pour tout préparer, trop une folle cette prof ! MDRR' Bon

de l´aveu dans Phèdre L´aveu signifie dévoiler une action, d'expliquer quelque chose d'ignoré, de caché. Le texte de Phèdre en comporte cinq. On peut même dire, avec Roland Barthes, que c´est une tragédie de l´aveu. Dans cette pièce de Racine, Phèdre rompt trois fois le silence. Les personnages d´Hippolyte et d´Aricie rompent chacun une fois le silence. Souvent les personnages ont des difficultés à avouer et c´est avec l´aide d´autres qu´ils le font.  Les aveux de Phèdre : Le premier

I. Un acte sous le signe de la manipulation politique et amoureuse (scène 1) 1. Espoir et désespoir d'une reine · Phèdre prend conscience de la non-réciprocité de sa passion pour Hippolyte. Au début de la scène 1, elle interprète les réactions d'Hippolyte : « Ciel ! comme il m'écoutait ! Par combien de détours / L'insensible a longtemps éludé mes discours

Acte V, scène 7, vers 1622-1644 Introduction: C’est en 1677 que Racine fait représenter Phèdre, pièce inspirée de deux tragédies antiques : Hippolyte, de l’auteur grec Euripide, et Phèdre, de l’auteur latin Sénèque. Racine place au centre de l’intrigue une héroïne déchirée entre sa passion violente pour son beau-fils, et sa conscience qui juge sévèrement cet amour interdit. Situation du texte : (cf. textes précédents) À la fin de l’acte III, le retour de Thésée a accéléré l’action. Le roi a cru

Acte V, scène 7, vers 1622-1644 C'est en 1677 que Racine fait représenter Phèdre, pièce inspirée de deux tragédies antiques : Hippolyte, de l'auteur grec Euripide, et Phèdre, de l'auteur latin Sénèque. Racine place au centre de l'intrigue une héroïne déchirée entre sa passion violente pour son beau-fils, et sa conscience qui juge sévèrement cet amour interdit. Situation du texte : (cf. textes précédents) À la fin de l'acte III, le retour de Thésée a accéléré l'action. Le roi a cru la calomnie

Acte V, scène 7, vers 1622-1644 C’est en 1677 que Racine fait représenter Phèdre, pièce inspirée de deux tragédies antiques : Hippolyte, de l’auteur grec Euripide, et Phèdre, de l’auteur latin Sénèque. Racine place au centre de l’intrigue une héroïne déchirée entre sa passion violente pour son beau-fils, et sa conscience qui juge sévèrement cet amour interdit. Situation du texte : (cf. textes précédents) À la fin de l’acte III, le retour de Thésée a accéléré l’action. Le roi a cru la calomnie

Acte V, scène 7, vers 1622-1644 C’est en 1677 que Racine fait représenter Phèdre, pièce inspirée de deux tragédies antiques : Hippolyte, de l’auteur grec Euripide, et Phèdre, de l’auteur latin Sénèque. Racine place au centre de l’intrigue une héroïne déchirée entre sa passion violente pour son beau-fils, et sa conscience qui juge sévèrement cet amour interdit.  Situation du texte : (cf. textes précédents) À la fin de l’acte III, le retour de Thésée a accéléré l’action. Le roi a cru la calomnie d’Oenone

«ni tout a fait coupable ni tout a fait innocente» Phèdre n'est pas coupable de sa passion pour Hippolyte. Elle est privée de son libre arbitre par Vénus – la déesse de la passion amoureuse – qui se venge du soleil sur ses descendants. «On ne peut rien changer à son destin. » (Esope) C'est dans son comportement, la manière dont elle appréhende cette passion qu'on peut lui faire des reproches.  Phèdre tente d'abord de résister a sa passion,elle exile Hippolyte a Trézène et parvient a retrouver