Pituite

sang, le phlegme ou pituite, la bile jaune, la bile noire (la tristesse) ou atrabile. Pour Galien, selon que prédomine chez un individu l’une des quatre humeurs : le sang, le phlegme, la bile jaune ou la bile noire, on a affaire à quatre tempéraments : sanguin, flegmatique, colérique et mélancolique. Feu (chaud et sec) Terre (froid et sec) Eau (froid et humide) Air (chaud et humide) Le sang ___________ ______________ ____________ SANGUIN Le phlegme (ou pituite) ___________ ______________

scientifique, en témoigne la psychologie cognitive qui ignore dans la théorie de l’information le sujet qui la traite. Selon Hippocrate, l’affectivité est influencée par quatre humeurs : * Le sang : venant du cœur (caractère jovial, chaleureux) * La pituite : rattachée au cerveau (caractère lymphatique) * La bile jaune : venant du foie (caractère anxieux) * L’atrabile : venant de la rate (caractère mélancolique) II/ Les différentes phases de l’affectivité a) L’affectivité et cognition L'affect

qu’avant son alcoolisme le rendait violent), « ne se fâchant plus » Pire, il aggrave chaque jour les symptômes en croyant soigner le mal par le mal : « il ne connaissait qu’un remède » : « sa chopine de cric » : « chaque jour il guérissait ainsi de sa pituite » : cet aveuglement irrationnel accélère sa déchéance ! C) entre le déni et la lucidité Zola montre que le personnage est partagé entre deux attitudes contradictoires : d’une part, il souffre de se voir ainsi diminué : on relève un

tel remède lui a réussi, ainsi qu’à Socrate ; et de même à plusieurs autres pris individuellement, c’est de l’expérience ; mais savoir d’une manière générale que tous les individus compris dans une même classe et atteints de telle maladie, de la pituite, par exemple, ou de la bile ou de la fièvre, ont été guéris par le même remède, c’est de l’art. Pour la pratique, l’expérience ne diffère pas de l’art, et même les hommes d’expérience atteignent mieux leur but que ceux qui n’ont que la théorie sans

d’imprégnation alcoolique → Sur le plan physique : Erythrose, aspect vultueux du visage, varicosité des pommettes et du nez Subictère conjonctival Odeur cétonique de l’haleine Trémulation des lèvres et des extrémités, crampes nocturnes des mollets Pituites, brûlures d’estomac, diarrhées Sueurs → Sur le plan biologique Macrocytose (augmentation volume globulaire moyen) et augmentation des gamma-GT → Sur le plan psychique - Instabilité caractérielle (irritabilité, impulsivité) - Labilité thymique -

liège des pantoufles du buveur enflait de la hauteur d’un demi-pied. comique trivial, emploie des chose vulgaireFlegme: une des 4 humeurs dans la médecine antique (= pituite)Humeur qui se trouve le plus souvent dans les sujet alcooliques, aussi en lien avec l’humidité -vocabulaire de nourriture plus variée que celle en lien avec l’éducation “Quelques douzaines de jambons”Énumération de ce qu’il mangecomique gigantalgf“quatre

créanciers, une maîtresse Le tourmentent comme un forçat.Dans l'âge mûr, autre combat, L'ambition le sollicite. Richesses, dignités, éclat, Soins de famille, tout l'agite.Vieux, on le méprise, on l'évite.Mauvaise humeur, infirmité. Toux, gravelle, goutte, pituite, Assiègent sa caducité.Pour comble de calamité, Un directeur s'en rend le maître. Il meurt enfin, peu regretté. C'était bien la peine de naître ! Jean-Baptiste ROUSSEAU, Poésies diverses, Stances sur l’homme, 1712-1723.  La Mort ne surprend

Le tourmentent comme un forçat. Dans l'âge mûr, autre combat, L'ambition le sollicite. Richesses, dignités, éclat, Soins de famille, tout l'agite. Vieux, on le méprise, on l'évite. Mauvaise humeur, infirmité. Toux, gravelle, goutte, pituite, Assiègent sa caducité. Pour comble de calamité, Un directeur s'en rend le maître. Il meurt enfin, peu regretté. C'était bien la peine de naître ! Jean-Baptiste Rousseau, Poésies diverses, 1823 8. Romance Au lever de l'aurore,

toute la substance du corps s’écoule à rebours. Une troisième espèce de maladies comprend les maladies dues à l’air, à la pituite et à la bile. Quand le poumon est obstrué et que l’air pénètre dans la chair et n’en peut sortir, il s’ensuit deux maladies, le tétanos et l’opisthotonos. Lorsque l’air qui forme les bulles de la pituite blanche est intercepté, c’est le mal sacré. La pituite aigre et salée est la source des maladies catarrhales. Enfin la bile est la cause de toutes les 30 inflammations

diagnostiques ne peuvent être détaillées compte tenu du nombre de causes de vomissements ; se reporter aux chapitres les concernant. Quelques situations évocatrices : – vomissements matinaux à jeun de liquide un peu glaireux avec haut-lecœur (pituites) : évocateurs d’un alcoolisme ou d’autres intoxications ou intolérances (médicaments, tabac) et de la grossesse (très fréquent) ; – vomissements en jet matinaux sans nausée ni haut-le-cœur : évocateurs d’une hypertension intracrânienne (rare)