Pollen

Le printemps est là, le soleil pointe le bout de son nez et… les premiers pollens sont déjà de retour. Pour les allergiques, c’est le début d’une nouvelle saison en enfer. Si la rhinite n’est pas considérée comme une maladie grave, elle handicape pourtant considérablement la vie des patients. Pourquoi subir quand on peut guérir… La rhinite allergique saisonnière est un réel problème de santé publique. C’est une maladie très fréquente mais dont l’épidémiologie est mal connue, probablement parce

environnement la pollinisation. Dans le cas des abeilles, ce mode de reproduction des plantes mettant en œuvre le transport du pollen sur les stigmates des fleurs pour réaliser la fécondation est appelé entomophilie (ou entomogamie). ( L’abeille, ou « Apis Mellifera » joue un rôle déterminant dans le bon fonctionnement de notre environnement. Assurant le transport d'un grain de pollen depuis l'étamine (organe mâle) afin que celui-ci rencontre les organes femelles de la même espèce, elle est le « fer de

C’est pourquoi il est nécessaire que les gamètes mâles contenus dans le pollen puissent « voyager » afin d’arriver sur le stigmate d’une autre fleur. La fleur fécondée donnera naissance à un fruit qui portera une ou plusieurs graines afin de perpétuer l’espèce. Comment la fécondation est-elle réalisée chez les plantes à fleur et quelles en sont les conséquences ? Tout d’abord, pour qu’une plante soit fécondée, un grain de pollen contenant un gamète mâle doit arriver sur le stigmate. Pour cela on différencie

l’utilité d’une abeille ? Outre la production de miel, c’est une formidable collectrice de pollen. Les fleurs attirent les abeilles grâce au nectar. Les abeilles se posent sur les fleurs et en collectant le nectar avec leur trompe, récupèrent au passage du pollen sur leurs poils, puis le déposent, sans même y prêter attention, sur l’organe femelle de la fleur : le pistil. Ainsi l’élément mâle (pollen) et l’élément femelle (pistil) sont en contact et la reproduction des plantes peut se réaliser

avec deux autres substances (imidaclopride et clothianidine) le 1er décembre 2013, en raison de leur probable responsabilité dans la mortalité des abeilles et autres pollinisateurs. Ce produit a été retrouvé à des taux parfois significatifs dans le pollen ramené par les abeilles à la ruche et dans des analyses de miel. Ces produits ne sont toutefois que l’une des causes du syndrome d’effondrement de la colonie d’abeilles. Le syndrome d'effondrement des colonies d'abeilles (en anglais, « Colony Collapse

d'application s'est considérablement élargi sous l'influence et l'impulsion de nombreux scientifiques du monde entier dont les travaux ont démontré l'intérêt non négligeable des autres produits de la ruche dans le cadre de la santé. Pour le pollen et la gelée royale, les applications thérapeutiques humaines furent de véritables découvertes, dont quelques prolongements furent malheureusement exploités au tout début de façon trop mercantile, ce qui a gravement nuit à leur réputation pendant de

femelles sont les gamétophytes. Les spores mâles sont les grains de pollen. Ils sont contenus dans 2 sacs polliniques sous les écailles des cônes mâles (étamines 2N). Ils sont produits par méiose et sont donc haploïdes (1N). Le grain de pollen se divise par mitose pour donner le gamétophyte mâle (1N) dont une certaines cellules seront les cellules reproductrices mâles (Anthérozoïdes 1N) et les autres formeront la paroi du pollen dont une partie se dilate pour former 2 ailes utiles à la dissémination

détériorent les ressources en nectar et pollens nécessaires au développement de l’abeille. Une évolution qui se mesure facilement pour l’abeille domestique avec plus de 1 000 apiculteurs qui cessent leur activité chaque année. Il y a fort à parier que l’abeille sauvage, souvent solitaire et donc plus vulnérable soit encore plus menacée. En moins de 50 ans la qualité et la quantité des pollens se sont considérablement amenuisés puisqu’on estime que 2/3 des pollens, abondants il y a à peine 50 ans, ont

pollinisation est le transfert du pollen des anthères (partie mâle de la fleur) aux stigmates (partie femelle de la fleur) ; les plantes peuvent être pollinisées par le vent ou par les animaux et plus particulièrement par les insectes : 80% des plantes sont entomophiles( Se dit des plantes dont la pollinisation se fait par l'intermédiaire des insectes.) Les abeilles et les plantes ont une grande interdépendance : elles doivent trouver leur nourriture dans les fleurs : nectar, pollen. Le nectar est produit

L’allergie Les mécanisme de l’allergie : Certains individus réagissent fortement à des substances inoffensives pour d’autres : pollen aliments etc… L’allergie est une réaction immunitaire excessive à un anti gène inoffensif. L’anti gène en cause est appelé allergène L’hypersensibilité immédiate : Elle s’établit en deux étapes : 1- la phase de sensibilisation lors d’un premier contact avec l’allergène, l’organisme fabrique des anti-corps particulier, qui n’existe que chez le sujet allergique