Quarantaine

concierge de l’immeuble de Rieux, le premier cas recensé de la peste.Castel : confrère de Rieux qui tente de développer un vaccin contre la maladie.Othon : Juge, il est au début du roman indifférent à l'épidémie. Après la mort de son fils et sa mise en quarantaine, il aide Rieux dans son travail. Il finit par mourir également. Il représente donc le résistant engagé après la mort d'un proche ou la découverte de la brutalisation de L'Allemagne Nazie. Mercier : directeur du service communal.Richard : docteur

Thématique de l’absurde (voir III.) · Référence implicite à la 2nde Guerre mondiale : - peste brune = Nazisme - Les corps sont entassés dans des fosses, cela peut rappeler les camps de concentration où il jetait les corps - La ville est mise en quarantaine (personne ne peut entrer ou sortir) comme dans les camps de concentration - Au fur et à mesure du livre une résistance se crées par ceux qu’ils veulent s’enfuir · Réflexion sur le sens de l’histoire des hommes · Notion du mal (tragique) · Dimension

sommes indisciplinés. En effet, l’Humanité ne cesse d’échanger mais reste incapable d’agir pour le bien de tous. Ce paradoxe est constamment illustré tout au long du film par les différents ratés dans la lutte contre la maladie. Par exemple, les quarantaines restent perméables et la recherche d’un vaccin est perturbée par divers intérêts individuels Par conséquent, la contagion ne cesse de progresser, le tissu social se désagrège, la loi martiale est instauré, les scènes de pillage et de meurtre sons

cadre est dramatique : l’enfant atteint de la maladie est entouré de pleins de malade. Camus décrit l’enfant de façon réaliste et utilise des périphrases qui provoquent la pitié « le petit malade », «  le petit corps ». De plus, dés la mise en quarantaine de l’enfant, le docteur juge son cas désespéré. Pourtant il lui injecté le sérum et assiste, impuissant, au combat de la victime jusqu’à sa mort. Personne n’agit car ils ont conscience que ça s’avérait inutile. On est affecté par la souffrance

conformer au risque d’être exclu ou d’être un souffre-douleur (celui sur lequel chacun vient se défouler parce qu’il n’est pas comme tout le monde) sur lequel le groupe peut déverser tout le ce sont les Sanctions ou (mépris, raillerie, mise en quarantaine, …). Il en est de même à l’arrivée d’un nouvel agent dans un service qui devra souvent subir une sorte d’examen de passage afin d’être intégrer. Ce nouveau, souvent décontenancer (ne sait plus comment se contenir) tâtonnant va chercher à faire son

faut lutter debout. Juge Othon : juge, il représente la magistrature. Il est au début du roman indifférent à l'épidémie. Il est dépeint d'une façon un peu caricaturale (mi-homme du monde, mi-croque-mort). Après la mort de son fils et de sa mise en quarantaine, il aide Rieux dans son travail. Il finit par mourir également. Il représente le résistant engagé après la mort d'un proche ou la découverte de la brutalisation par l'Allemagne Nazie. Cottard : homme dont Joseph Grand a empêché le suicide et qui

activé, il recherche sur votre dispositif la présence de logiciels espions, de logiciels de publicité ainsi que d’autres logiciels potentiellement indésirables. S’il en trouve, il vous demande si vous souhaitez les ignorer, les désactiver (mise en quarantaine) ou les supprimer. Tout logiciel potentiellement indésirable dont le niveau de dangerosité est « élevé » ou « grave » est automatiquement supprimé après détection sauf si vous modifiez le paramétrage par défaut. La suppression ou la désactivation

elle donne une impression de menace constante qui guette, de mal inconnu. - Lors de la pause narrative l.44 à 47, « la falaise pierreuse qui se refermait au loin » l.45, on a la notion de piège que se referme, inévitable, qui anticipe la mise en quarantaine et l’isolement de la ville. La personnification de la falaise avec « l’épaule de la falaise » accentue l’idée de piège (sournois) - La tournure impersonnelle « il fallait » montre une action qui ne découle pas d’une volonté, mais d’une obligation

des alentours alertèrent le commissariat, ainsi que les pompiers, qui vinrent et déployèrent leurs lances dans l’espoir de noyer le potin, mais sans succès. Alors on saisit la préfecture, qui référa au ministre. Et la rue faut condamnée, mise en quarantaine derrière un rideau de barbelés. Cette affaire permit à Clément de donner sa peine mesure de chevalier sans peur et de prouver son dévouement à la cause commune. Il fait le voyage de Rouen à Barentin sur son vélo, accompagné du fidèle Didi qui trottait

L'homme Révolté (1951), Les Justes (1949) et L'État de siège (1948) Ce passage est un extrait de l'avant dernier chapitre de l'avant dernière partie. Sujet: La peste sévit encore violemment à Oran, ville touchée par cette maladie et mise en quarantaine, à l'automne dans les années 1940. La ville étant refermé sur elle-même, elle devient le théâtre de l'opposition entre les différentes thèses sur le Mal omniprésent, le sens de la vie. On observe dans ce texte trois niveaux de lecture: - la chronique