Rachitisme

Il fait à peine jour, ils sont déjà bien las. Ils ne comprennent rien à leur destin, hélas ! Ils semblent dire à Dieu : « Petits comme nous sommes, Notre père, voyez ce que nous font les hommes ! » O servitude infâme imposée à l'enfant ! Rachitisme ! travail dont le souffle étouffant Défait ce qu'a fait Dieu ; qui tue, œuvre insensée, La beauté sur les fronts, dans les cœurs la pensée, Et qui ferait - c'est là son fruit le plus certain ! - D'Apollon un bossu, de Voltaire un crétin ! Travail

sur leur joue.Il fait à peine jour, ils sont déjà bien las.Ils ne comprennent rien à leur destin, hélas !Ils semblent dire à Dieu : « Petits comme nous sommes,Notre père, voyez ce que nous font les hommes ! »O servitude infâme imposée à l'enfant !Rachitisme ! travail dont le souffle étouffantDéfait ce qu'a fait Dieu ; qui tue, œuvre insensée,La beauté sur les fronts, dans les cœurs la pensée,Et qui ferait - c'est là son fruit le plus certain ! -D'Apollon un bossu, de Voltaire un crétin !Travail mauvais

 perméabilité  membranaire  aux   ions  calcium.  [16]   Pendant  l’enfance,  la  vitamine  D  est  essentielle  :  elle  prévient  les  risques  d’hypocalcémie  néonatale,   de  diabète  et  de  rachitisme.     La   vitamine   D3   est   donc   un   nutriment   indispensable   durant   l’enfance;   sa   production   cutanée,   dépendant   de   l'exposition   aux   rayons   UV   et   à   partir   du

progression. Problème n° 2 : risque hémorragique Elle a eu à J3 de la vitamine K 1, en prise unique Problème n° 3 : prévention du rachitisme Elle a dès J1 une dose de 1 ml d'Uvesterol vitamine D, le traitement sera poursuivi III-Projet de soins PROBLEME MEDICAL | Prescription | Actions infirmières | Evalutation | Prévention du rachitisme | Uvestérol D, le matin 1 ml à la pipette | Dispenser le traitement Education à la maman pour la prise du traitement |

société. Victor Hugo fait aussi un portrait des enfants, en décrivant d’avantage leurs faiblesses que leurs forces pour évoquer la pitié du lecteur, comme au vers 2 où il décrit leur faiblesse physique « la fièvre maigrit » ou encore au vers 18 « Rachitisme ! », il décrit aussi leur faiblesse morale comme au vers 1 « dont pas un seul ne rit ? » qui évoque le fait qu’ils ne s’amusent pas. Au vers 12 il y a une métonymie « Aussi quelle pâleur! La cendre est sur leur joue.» On peut donc dire que

leur joue. Il fait à peine jour, ils sont déjà bien las. Ils ne comprennent rien à leur destin, hélas ! Ils semblent dire à Dieu : « Petits comme nous sommes, Notre père, voyez ce que nous font les hommes ! » Ô servitude infâme imposée à l’enfant ! Rachitisme ! travail dont le souffle étouffant Défait ce qu’a fait Dieu ; qui tue, œuvre insensée, La beauté sur les fronts, dans les cœurs la pensée, Et qui ferait – c’est là son fruit le plus certain – D’Apollon un bossu, de Voltaire un crétin ! Travail

traitement inhumain a inéluctablement des conséquences à la fois physiques et morales sur ces jeunes êtres. D'une part, ces derniers sont en mauvaise santé ce qu'indique le champ lexical de la maladie tout au long du poème "pâleur" (vers 12), "rachitisme" (vers 18), "fièvre" (vers 2). Ils ont mauvaises mine et sont maigres. Le double antithèse "Et qui ferait d'Apollon un bossu, de Voltaire un crétin" (vers 22) suggère non seulement que ce travail enlaidit ces enfants mais aussi qu'il les rend bête

Il fait à peine jour, ils sont déjà bien las. Ils ne comprennent rien à leur destin, hélas ! Ils semblent dire à Dieu : « Petits comme nous sommes, Notre père, voyez ce que nous font les hommes ! » O servitude infâme imposée à l'enfant ! Rachitisme ! travail dont le souffle étouffant Défait ce qu'a fait Dieu ; qui tue, œuvre insensée, La beauté sur les fronts, dans les cœurs la pensée, Et qui ferait - c'est là son fruit le plus certain ! - D'Apollon un bossu, de Voltaire un crétin ! Travail

matériel. Si nous parvenons à en éliminer, il en arrive le double. Nous mangeons la plupart du temps des céréales qui poussent dans les serres souterraines que les Bâtisseurs ont construites en aménageant ces galeries. Et les plus jeunes souffrent de rachitisme. Contrairement à mes semblables, j'arrive à dormir. C'est d'ailleurs le moment qui me redonne espoir. Je revois ma famille - maintenant disparue – au sein de notre foyer. Nous sommes souvent dans le jardin, attablés. Nous avons tous ce sentiment

 insiste  sur  leur  sort  de  victime.   b.Souffrance  des  enfants   -­‐souffrance  physique  -­‐-­‐>  mise  en  valeur  par  champ  lexical  santé  maladive  :  «fatigue»,  «rachitisme»,   «fièvre»  +  structure  négative  sur  l’absence  d’enfance  «joie»  +  «jeu»   -­‐souffrance  morale  et  solitude  -­‐-­‐>  adjectif  «seul»  placé  en  fin  de  vers  insiste