Ratonneau

militaire stratégique. Dès Henri IV, un fort très important couronne l'île Ratonneau, actuellement enfoui sous terre. L’île d’If elle-même fut ensuite fortifiée : sous Louis XIV, les fortifications sont étendues à l'ensemble de l'archipel par Vauban. D'autres constructions militaires sont édifiées sous Napoléon. Sous la Troisième République, la majorité des fortifications de l'archipel est reprise ou édifiée : les forts de Ratonneau et celui de Pomègues, le fort du Brégantin, la tour de Pomègues, les batteries

difficilement manœuvrables à cause du bois vert utilisé pour leur construction. Decimo improvisa des équipages composés de soldats novices dans le combat naval. Néanmoins, il décida de faire le blocus naval en ancrant les navires près de l’île de Ratonneau, près de Marseille. Le 12 juin, les Marseillais, forts de leur habitude marine et dotés de vaisseaux plus rapides et manœuvrables, décidèrent de forcer le blocus avec 17 navires.[1] « Les Marseillais, suivant les conseils de Lucio Domizio,

Plages, îles de Marseille et îles d’Hyères Les îles de Marseille, situées à quelques kilomètres de son port, sont de véritables petits coins de paradis, qui autrefois servaient d’avant-postes fortifiés pour défendre la ville. (Archipel du Frioul : Ratonneau, Pomègues, If et Tiboulen). Les îles d’Hyères, surnommées « îles d’Or », doivent leur surnom au halo doré formé par l’éclat lumineux de la roche, surtout au coucher du soleil. Ces iles sont des fragments isolés du massif des Maures. Les côtes