Religion grecque antique

l’apothéose (tous), c’est-à-dire la divinisation. L’antihéros peut être un personnage mauvais, qui n’effectue pas de noble quête, ou n’est pas animé de sentiments altruistes, etc. Bien que le mot soit récent[1], bien des personnages de la religion grecque antique commettent des actions franchement anti-héroïques (ainsi Ajax qui, aveuglé par Athéna, massacre le bétail de l’armée achéenne en croyant s’en prendre à ses guerriers, parce que les Achéens lui ont refusé d’hériter des armes d’Achille, et

C'est surtout à Sparte qu'il fait l'objet d'un culte. Les éphèbes lui sacrifient un chien à Thérapné,en Laconie. A Sparte même,un sanctuaire lui est dédié sous le nom d'Arès Théritas,c'est-à-dire«le sauvage». Au total, sa place dans la religion grecque antique est bien loin d'égaler celle de Mars chez les Romains

; l’apothéose (tous), c’est-à-dire la divinisation. L’antihéros peut être un personnage mauvais, qui n’effectue pas de noble quête, ou n’est pas animé de sentiments altruistes, etc. Même si le mot est récent, bien des personnages de la religion grecque antique commettent des actions franchement anti-héroïques (ainsi Ajax qui, aveuglé par Athéna, massacre le bétail de l’armée achéenne en croyant s’en prendre à ses guerriers). Il peut aussi s’agir d’un « bon » héros, mais dont les caractéristiques

connaît pas lʼécriture, alors quʼà Mycènes, on a découvert de nombreuses tablettes gravées dʼune écriture en grec très ancien : le linéaire B. Cf carte p. 145, Odyssée (éd. Bibliocollège) les routes commerciales à lʼépoque mycénienne. a) Lʼépopée antique. Une épopée est un récit légendaire, chanté et mimé, dans lequel les personnages sont des dieux et des humains intervenant dans la guerre de Troie. Parmi ces derniers, on trouve un héros dont le récit nous raconte les aventures. Il est magnifié, notamment

** Phèdre, Lecture analytique : ACTE I, SCENE 3 (l’aveu à Oenone, v. 255-316) Introduction Racine écrit cette pièce en 1677 et adapte la légende grecque de Phèdre au public du XVIIe siècle. En cela, il contribue à la doctrine de l’imitation chère à l’époque classique. Dans cette scène 3, le spectateur assiste à la première apparition de l’héroïne affaiblie par un mal mystérieux dont chaque personnage de l’intrigue a constaté l’ampleur puisque c’est une femme mourante qui entre en scène

touché les élites, puis s’étant répandu dans toute la société au fil du temps. Cet homme que l’on a pu qualifier d’honnête homme, est né la nuit de la Saint Barthélémy en 1592. C’est l’excès des actes commis durant cet évènement, et des guerres de religion en général, qui furent finalement porteurs, dans le siècle qui suivit et pour toute l’Europe, d’une modification profonde et apaisée de notre société. L’honnête homme est une personne qui maitrise ses pulsions, son comportement social est davantage

mais les réformes du VIe siècle, réalisées par Solon et Clisthène, ont permis le développement d'un système politique original. Peu à peu, apparaissent l'égalité entre les citoyens et la participation de tous à la vie politique. 2. La religion civique La religion joue un rôle essentiel dans la vie de la cité. Les Athéniens comme tous les Grecs sont polythéistes, c'est-à-dire qu'ils croient en plusieurs dieux. Ils ont des divinités poliades, chargées de protéger la cité. La plus importante est Athéna

contre les Spartiates. Près de Trézène, un sanctuaire lui est consacré en souvenir des Amazones, ses filles. À Athènes, il est vénéré en association avec Aphrodite. Enfin, il a des temples à Argos et Salamine. Au total, sa place dans la religion grecque antique est bien loin d'égaler celle de Mars chez les Romains. IV-Amours Arès n'était pas marié mais il eut de très nombreuses aventures, notamment avec Aphrodite (ἡ Ἀφροδίτη, ης). Si dans l'Iliade l'amour d'Arès et d'Aphrodite n'est

Exposé sur la religion grecque de l'Antiquité La religion grecque La religion grecque ne comprenait ni clergé (organisation générale et hiérarchisée), ni croyance obligatoire bien définie, ni livre fondamental comme la Bible ou le Coran. Elle se pratiquait autour de la cité, non de l'église. Les Grecs étaient polythéistes et croyaient donc en plusieurs dieux et déesses. Prêtres La cité désignait des citoyens, femmes ou hommes, pour une période déterminée. Ces prêtres temporaires

d’Athéna dans l’Erechthéion. La cérémonie se terminait par un festin. La procession solennelle permettait à la cité athénienne de donner le spectacle à la fois de son organisation hiérarchique et de l’unité de sa population. P.SCHMITT PANTEL, La religion grecque, 1989. Question 4 : Souligne de quatre couleurs différentes les passages du texte qui te permettent d’identifier les quatre morceaux de la frise du Parthénon. Couleur 1 : Couleur 3 : Couleur 2 : Couleur 4 : Question 5 :