Respect Différence

qui exhorte à la compréhension et au respect des différence Mais au delà de la loi, chaque individu a ses propres valeurs morales et ses propres limites à la tolérance: c'est l'éducation qui pose nos valeurs morales (religion, croyances...) La tolérance est, par définition, une attitude qui consiste à admettre chez autrui une manière de penser ou d'agir différente de celle que l'on adopte soit même. Cette notion est donc étroitement liée à celle de "respect" et constitue ainsi une qualité essentielle

nous sommes différents les uns des autres. Mais moi, oui moi, j’affirme que la différence est primordiale dans notre vie. Oui ! Je suis fière d’être différente. Vous me direz, comment pouvons-nous nous intégrer dans la société si nous ne nous fondons pas dans la masse ? Je vous dirai donc, d’écouter attentivement mon discours car je vais, sans donner de véritable solution, vous expliquer pourquoi je pense que la différence est un atout majeur pour réussir sa vie. Mon discours se déroulera de la façon

animaux, de la viande. b) L'esclavage est une offense à l'humanité - C'est un manque de respect de sois même de réduire quelqu'un en esclavage. Ex: Dans "" de Victor Shoelcher,l'esclavage est dit etre la base de l'organisation de la société où un esclave a un rôle de fondations pendant que d'autres ont un rôle de privilégiés. Ex: Dans "" de Léry, Léry dénonce l'attitude paisible des européens qui au nom du respect des autres accepte de participer à un supplice cruel. C'est une attitude scandaleuse

deuxième partie nous verrons , ce que la relativité de nos opinions peuvent entrainer et les limites du relativisme moral. Finallement dans la troisième partie nous verrons , qu'il existerais potenciellement une règle de l'opinion qui puisse faire la différence entre bien et mal de façon universelles. Comme nous le savons le bien est relatif aux opinions , plus précisement a une société donnée a un moment donné dand l'Histoire.L'idée que l'on se fait du bien est tout d'abord une affaire de croyance

dégradations de boîtes aux lettres, les odeurs d’urine dans les cages d’escalier, les bruits, les vitres brisées, les groupes de jeunes impolis et parfois agressifs assemblés au pied des immeubles. L'ordre en public se loge dans le respect des civilités (politesse, respect d'autrui), dans la négociation des entrées en relation avec autrui, bref, dans l'affichage du caractère pacifique de la personne. Dans la civilité se jouent les droits et les devoirs concrets de l'individu. Avec les incivilités, c'est

l'éducation et la religion entre autres, elle s’applique et se respecte. Nous avons en effet tous nos propres valeurs, transmises par nos parents, notre vécu, notre expérience, la société, et bien d'autres. Qu'elles soient morales et/ou humaines, les valeurs sont la base du respect et de la vie en société. Elles sont généralement inculquées par la famille, l'éducation, les enseignements reçus et ainsi perpétuées. Respecter ses valeurs c'est se respecter soi-même et ceux qui nous les ont transmises. Dans un

Devoir sur le respect 1) Définition du respect : a)Définition générale Etymologie de respect : du latin respectumus : égard, considération. Le respect est le sentiment de considération, d’égard, voire de vénération que l’on peut avoir envers un individu ou quelque chose. Il se manifeste par une attitude de politesse et le souci de ne pas porter atteinte à l’objet du respect, ni le heurter inutilement. Le respect est une valeur plus profonde que la simple politesse. Le respect mutuel constitue

gouvernemental complet (trio), une compétence normative. Cela les distingue de la simple collectivité territoriale. Il paraît donc légitime de parler d’Etat non-souverains, d’Etats fédérés, de étatitude. De caractère étatique limité. Il existe une différence qualitative avec les communes. Les cantons comme organes de la Confédération : ils participent de différente manière. Double majorité> 142 Cst. Le droit d’initiative> 160 Cst. Le droit de référendum -> 141 al. 1 Cst. (8 cantons) :

Tolérance et respect Qu’est ce que la tolérance ? Le mot tolérance vient du latin tolerare, qui signifie « supporter ». C’est une notion qui définit la capacité d’un individu à accepter une chose avec laquelle il n’est pas en accord. Et par extension moderne, l’attitude d’un individu face à ce qui est différent de ses valeurs. En matière de religion, de philosophie, de culture ou de politique, la tolérance est la capacité à accepter et à respecter des idées, des sentiments, des manières

qu’ils ne voient pas la fin visée par la loi. Ils ignorent donc la nécessité et l’intérêt de s’y soumettre, ils n’y obéiront pas sans qu’on les y force. Mais de quelle façon les inviter ? Ceux qui créent les lois, les législateurs, pour les faire respecter par ceux qui n’en voient pas l’utilité ont ajouté d’autres fins. Des fins que Spinoza oppose a la vraie fin des lois. Ainsi, les lois ont deux fins. Tout d’abord la vraie fin, celle qui est nécessaire a l’application de la loi mais qui n’est pas