Surnaturel

fantastique dans ce récit, à savoir la présence d’un phénomène surnaturel contredisant les lois physiques et les croyances du monde familier et l’hésitation entre une explication rationnelle et une explication irrationnelle par rapport à ce phénomène. 2. Singularisation : Le récit du Horla correspond au schéma du genre fantastique, puisqu’un être invisible envahit le personnage matériellement et intellectuellement. De ce fait, cet être surnaturel semble progressivement s’apparenter au double du héros

('miséricorde, repent, perte') et cette pression à repentance immédiate ('n'a plus qu'un moment') • Rappel femmes bafouées, déshonorées (DJ croit reconnaître voix, signe que représente un passé) • S'adresse à DJ à 3ème pers : aspect solennel, étrangeté surnaturelle • Repentance encore possible en vertu de la 'miséricorde' • 1er avertissements chargé de toucher conscience par rappel mal commis b. Le temps avec la faux : • Allégorie du tps qui passe qui conduit à la mort (faux) •Apparition + fugitive

la première fois en 1894. Résumé: Le héros de Véra " est un aristocrate : il se nomme le comte d'Athol et il appartient à la même lignée. Il ignore, à vrai dire, l'angoisse métaphysique; ses sens sont « exclusivement terrestres », et la foi au surnaturel lui apparaît comme « un sujet de vagues étonnements ». Mais pour atteindre à cet Absolu dont toute âme d'élite est impatiente, il a compté sur la vertu mystique de l'amour. Le comte d'Athol et sa bien-aimée Véra se sont isolés du monde pour connaître

reviennent souvent sont réel, naturel et surnaturel On peut le voir: « lois naturel » lignes15-16 « apparence surnaturel » lignes16 « réel et d'imaginaire »lignes18 « forme des choses extraordinaire » lignes40 3) Todorov essaye de définir le fantastique comme un moment d'hésitation entre une explication rationnelle et une explication surnaturelle. Le mot explication est donc essentiel dans l'analyse au fait qu'il différencie le rationnelle au surnaturel. Les relations entres ces trois mots

confrontation annoncé entre DJ et C. Fantastique/ comique/ tragique. 1) Le fantastique : Quels sont les différents éléments surnaturels qui apparaissent ? Intervention du surnaturel : le spectre appuyé par le CL du surnaturel : « Ciel », la statue qui est animée, « fantôme », évocation des enfers à la fin. a. Le spectre : Comment est souligné son caractère surnaturel ? Que vient-il faire? Pers. mandaté par Ciel car lexique religieux ('miséricorde, repent, perte'+ Thème du repentir : miséricorde

registre littéraire caractérisé par l’intrusion du surnaturel dans le cadre réaliste d’un récit, autrement dit l’apparition de faits inexpliqués. Les personnages en général adoptent une réaction de refus face à ces évènements impossibles. B – Le début du récit : Le cadre de début est généralement réaliste, les personnages apparaissent dans leur vie quotidienne et banale. Ils ne sont pas préparés à vivre des évènements surnaturels. Dans Thérèse Raquin, la famille Raquin vivait

quelque chose de surnaturel à des caractères humains > Cartésien. 2) Un orgueil funeste : « Je veux » > Montre l'orgueil de Dom Juan. « il ne sera pas dit » + emploi du futur de certitude > Dom Juan s'obstine à refuser de se repentir. > Orgueil du personnage. Emploi de l'impératif : « Allons, suis moi » > Dom Juan ne se soumet pas même face à la manifestation divine. II) Un dénouement baroque : 1) Le surnaturel tragique : CL du surnaturel : « spectre », « femme

l'impression de grandeur, d'infini de la cité. Effectivement on a des phrases de plusieurs lignes : «  Vingt Belles filles de la garde (…) Selon l'usage ordinaire » qui servent pour l'auteur à renforcer cette sensation de ville démesurée, presque surnaturelle par sa taille. Mais ce qui caractérise l'El Dorado ce n'est pas seulement sa démesure mais également l'harmonie qui y règne. En effet, on peut décrire la cité comme un univers harmonieux tant par le champ lexical de la beauté -belle, grâce, ornée-

mentales individuelles) ? Soulever la question de la narratrice chez Pommerat. Deuxième défi : comment mettre en scène le merveilleux (événement surnaturel accepté comme tel, dont on ne se formalise pas , à la différence du fantastique). Ce merveilleux est lié notamment dans le conte Cendrillon à la marraine fée (transformation de Sandra) ou à des êtres surnaturels comme les oiseaux. Rappel : Pommerat a déjà mis en scène, deux contes, Pinocchio (2008) et Le petit chaperon rouge (2004) : réflexion sur

pour le lecteur afin de rendre l’histoire crédible et d’amener le lecteur à croire aux faits racontés. Il s’agit de faire adhérer le lecteur à l’histoire, et de l’amener à se demander si l’histoire racontée ne serait pas vraie malgré son caractère surnaturel et incroyable. Nombreux connecteurs spatiaux « en face de moi » « à droite » « à gauche » « derrière moi » « devant », qui servent à créer un effet de réel. Présence abondante de possessifs « mon lit » « ma cheminée » « ma porte » « ma glace