Therese Raquin Critique

de la presse. Prenant la défense de peintres refusés au salon, comme Manet, il se construit une réputation de critique d’avant-garde. Après les Contes à Ninon, il publie en 1865 son premier roman, la Confession de Claude, avant de démissionner un an plus tard pour se consacrer à l’écriture. La fondation du naturalisme En 1867, il publie son premier roman naturaliste : Thérèse Raquin. L’œuvre, qui raconte un meurtre sordide et la déchéance des personnages rongés par la mauvaise conscience, fait

écriture est basé sur la critique sociale et religieuse Œuvre : Lettres persanes 1721 L’ esprit des lois 1748 Voltaire 1694-1778 François –Marie Arouet dit voltaire Philosophe des lumières, il a quitté plusieurs fois Paris pour éviter la mort, son écriture est basé sur la critique. Œuvre : Lettres philosophiques 1734 Candide 1759 Denis Diderot 1713-1784 Auteur du livre philosophique, il fait parti des philosophes des lumières. A travers ses livres il critique. Passionné par l’art, il

bourgeoisie et les dettes de l’aristocratie après la Révolution française ; il évoque la prostitution, l’imprimerie, les banquiers Stendhal : le roman est un « miroir que l’on promène le long d’un chemin » Flaubert : ses romans portent un regard très critique sur la bourgeoisie (satire) Le naturalisme : mouvement littéraire de la 2e moitié du 19e Les écrivains veulent peindre la réalité mais en adoptant une démarche scientifique ; cela s’explique par les découvertes scientifiques récentes : la démarche

réaliste s’affirme particulièrement dans le roman ; il se manifeste aussi en poésie, dans les œuvres de Banville, de Leconte de Lisle et des Parnassiens ; au théâtre, on le rencontre chez Eugène Scribe, Augier, Dumas-fils, Pailleron, et enfin dans la critique et l’histoire chez Renan, Hippolyte Taine et Fustel de Coulanges. Quelque œuvre réaliste en peinture : De Gustave Courbet, la plus célèbre de ses œuvres est surement : « Le désespéré », 1843-1845, 45*54 cm, collection particulière. De Jean-François

Poquelin) (1622-1673) Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière, a marqué l’histoire du théâtre et de la comédie française. Auteur le plus joué encore à l’heure d’aujourd’hui, Molière s’est distingué par des pièces qui mêlent le comique, le pathétique et la critique. Il faisait du rire une arme pour combattre les mœurs et les contraintes de son époque. Quelques unes de ses œuvres les plus célèbres : Le Bourgeois Gentilhomme (1670) Les Précieuses Ridicules (1659) Tartuffe ou L’Imposteur (1664) EMILE ZOLA

NATURALISME B- BIOGRAPHIE Emile Zola ( 1840/1902), grand ami de Cézanne, passe sa jeunesse à Aix-en Provence. Il entre ensuite chez Hachette comme journaliste ( écrit des articles, critiques d’art et littéraire). En 1866, il quitte la librairie, décidé à vivre de sa plume et en 1866 son premier succès vint avec Thérèse Raquin, annonçant, sans en faire partie, la longue série des Rougon-Macquart notamment par les sujets abordés ( folie, hérédité). Il décide d’entreprendre sa vaste fresque romanesque (

1865, il rencontre celle qui va devenir sa femme : Alexandrine Meley. Décidé à vivre de sa plume, il quitte la librairie Hachette en 1866. En 1867, son premier succès vint avec Thérèse Raquin, qui annonce, sans en faire partie, le cycle des Rougon-Macquart, tant par les sujets abordés (l’hérédité, la folie) que par les critiques qu’il suscite : la presse traite en effet l’auteur de « pornographe », d’« égoutier » ou encore de partisan de la « littérature putride ». Après la guerre de 1870, à laquelle

naturaliste exige, si l'on s'en tient à la théorie d'Émile Zola, que l'écrivain applique une méthode strictement littéraire qui se rapproche de celle mise en œuvre par les sciences naturelles, et qui avait été utilisée pour la première fois dans la critique positiviste des phénomènes littéraires par Charles-Augustin Sainte-Beuve et Hippolyte Taine. Auguste Comte avait, en effet, affirmé, dans son Cours de philosophie positive (1730-1742), que l'art, parvenu au stade « positif », obéissait aux mêmes

D’autres personnes écrivent aussi pour critiquer la domination des classes sociales les plus favorisées et les tabous religieux comme dans Le Roman de Renart où l’auteur compare les hauts personnages de la cour à des animaux. Dans Toine et autres contes, Guy de Maupassant dénonce des faits divers ce qui provoque chez le lecteur des réflexions sur l’époque. Dans ses romans, Emile Zola dénonce la brutalité de la société du XIX° siècle, dans Thérèse Raquin il décrit le vice des classes moyennes et

Les œuvres de Zola, au XIXème siècle, sont souvent la cible de nombreuses critiques, en effet, ses adversaires l’accusent d’être un « écrivain pornographique » de par son « goût du sordide et du détail cru », on l’accuse aussi de « salir le peuple » : dans l’Assommoir, il décrit une réalité froide, précise, « monstrueusement détaillée » de l’alcoolisme. Parmi les contemporains de Zola, on trouve notamment le critique Louis Ulbach dit Ferragus : il parle d’une «littérature putride » et écrit dans