Théories De Peter Ferdinand Drucker

économiste autrichien du milieu XXe siècle, connu pour ses théories sur les fluctuations économiques, la destruction créatrice et l'innovation. EN 1911 il entre à la faculté de droit de et s’intéresse rapidement à la sociologie en étudiant des auteurs comme Werner Sombart et Max Weber.IL fut diplômé Docteur en Droit en 1906. Il est considéré comme l'économiste de l'effervescence et on le qualifie d’économiste hétérodoxe pour ses théories sur l’évolution du capitalisme dans la démocratie, qu'il estime

MIAGE) Célia GOMEZ (L2, Informatique) Damien REIMAN (L2, MIAGE) Théorie des organisations 1946-1958 2009-2010 Sommaire 1946-58 : Le contexte historique 3 Dans le Monde En France Herbert SIMON 11 Bibliographie La rationalité limitée Etude de cas: les missiles de Cuba Les étapes de prise de décision Organisation et rationalité de décision Critiques Peter DRUCKER 19 Biographie L’école Néoclassique Les mathématiques, nouvelle

l’autocontrôle, et le principe d’exception - La compétitivité et la motivation Partie II : les théoriciens de l’école - PETER FERDINAND DRUCKER - ALFRED PRITCHARD SLOAN - OCTAVE GELINIER Conclusion L' école néoclassique 2 INTRODUCTION L' école néoclassique 3 L’école néoclassique Approche empirique Approche normative Les principaux auteurs conceptualisent des théories à partir de multiples expériences réalisées au sein des activités de conseil de management L’école néoclassique a hérité

LES AUTEURS EN MANAGEMENT Joseph Aloïs Schumpeter (8 février 1883 – 8 janvier 1950) est un économiste autrichien du XXe siècle, connu pour ses théories sur les fluctuations économiques, la destruction créatrice c'est-à-dire qu’on remplace qque chose d’ancien par qque chose de nouveau ( def. Progrès), et l'innovation. Il est l'auteur d'une Histoire de l'analyse économique, parue en 1954 et qui fait encore référence. Henri Fayol (1841 - 1925) est un ingénieur français et l'un des précurseurs

dépasse largement la simple recherche du profit – son rôle s’étend à la société toute entière et à l’environnement. I – Les finalités de l’entreprise A - Réaliser un  profit maximum Selon la théorie classique libérale, le profit correspond à la finalité de l’entreprise – les tenants de cette théorie considèrent en effet que le profit constitue la juste contrepartie du risque pris par les dirigeants et les actionnaires. Cette vision un peu étroite de la finalité  de l’entreprise commence à être

|Peter Ferdinand DRUCKER | | |(1909/2005) | | | | | |Théoricien américain du management. | Pour DRUCKER l’entrepreneur ➢ est un preneur

Un siècle de management D'Henri Fayol à Michael Porter en passant par Mary P. Follett ou Peter Drucker, les grandes figures du management ont apporté, chacune à sa façon, leur pierre à l'organisation du travail et de l'entreprise depuis le début du XXe siècle. Le XXe siècle restera comme le siècle du management", écrivait Henry Mintzberg en 1989. C'est en effet dans les années 10 que paraissent les deux ouvrages fondateurs du management moderne: Les principes du management scientifique, de Frederick

 Frédéric WINSLOW Taylor Henry FORD KAPLAN Robert Peter DRUCKER SCHUMPETER Joseph SLOAN Alfred Pritchard NORTON David LIKERT Rensis SIMON Herbert Alexander CYERT Richard Mickael MARCH James CROZIER Michel MINTZBERG Henry

consultant interne de AT & T * A exposé sa pensée en 1968 dans un article de la Harvard Business Review | « L’homme a deux sortes de besoins : son besoin animal d’éviter la douleur, et son besoin humain de se développer psychologiquement » | Sa théorie : Facteurs de motivation | Facteurs de satisfaction | Facteurs d’insatisfaction | Facteurs d’hygiène | | * La réussite * La reconnaissance * La satisfaction liée à la nature du travail * La responsabilité * Le progrès personnel *

clair que que la  finalité  de l’entreprise dépasse largement la simple recherche du profit – son rôle s’étend à la société toute entière et à l’environnement.   I – Les finalités de l’entreprise A - Réaliser un  profit maximum Selon la théorie classique libérale, le profit correspond à la finalité de l’entreprise – les tenants de cette héorie considèrent en effet que leprofit constitue la juste contrepartie du risque pris par les dirigeants et les actionnaires. Cette vision un peu étroite