Un bar aux Folies Bergère

assez d’ombre, pas assez de sombre. Il faudrait un très beau jardin, très vaste. Ce serait charmant. Où veux-tu aller ? Duroy, perplexe, ne savait que dire ; enfin, il se décida : - Je ne connais pas les Folies-Bergère. J’y ferais volontiers un tour. Son compagnon s’écria : - Les Folies-Bergère, bigre ? nous y cuirons comme dans une rôtissoire. Enfin, soit, c’est toujours drôle. Et ils pivotèrent sur leurs talons pour gagner la rue du Faubourg-Montmartre. La façade illuminée de l’établissement jetait

assez d'ombre, pas assez de sombre. Il faudrait un très beau jardin, très vaste. Ce serait charmant. Où veux-tu aller ? Duroy, perplexe, ne savait que dire ; enfin, il se décida : - Je ne connais pas les Folies-Bergère. J'y ferais volontiers un tour. Son compagnon s'écria : - Les Folies-Bergère, bigre ? nous y cuirons comme dans une rôtissoire. Enfin, soit, c'est toujours drôle. Et ils pivotèrent sur leurs talons pour gagner la rue du Faubourg-Montmartre. La façade illuminée de l'établissement jetait

pas assez d'ombre, pas assez de sombre. Il faudrait un très beau jardin, très vaste. Ce serait charmant. Où veux-tu aller?» Duroy, perplexe, ne savait que dire; enfin, il se décida: «Je ne connais pas les Folies-Bergère. J'y ferais volontiers un tour.» Son compagnon s'écria: «Les Folies-Bergère, bigre! nous y cuirons comme dans une rôtissoire. Enfin, soit, c'est toujours drôle.» Et ils pivotèrent sur leurs talons pour gagner la rue du Faubourg-Montmartre. La façade illuminée de l'établissement jetait

assez d’ombre, pas assez de sombre. Il faudrait un très beau jardin, très vaste. Ce serait charmant. Où veux-tu aller ? Duroy, perplexe, ne savait que dire ; enfin, il se décida : – Je ne connais pas les Folies-Bergère. J’y ferais volontiers un tour. Son compagnon s’écria : – Les Folies-Bergère, bigre ? nous y cuirons comme dans une rôtissoire. Enfin, soit, c’est toujours drôle. Et ils pivotèrent sur leurs talons pour gagner la rue du Faubourg-Montmartre. La façade illuminée de l’établissement jetait

assez d’ombre, pas assez de sombre. Il faudrait un très beau jardin, très vaste. Ce serait charmant. Où veux-tu aller ? Duroy, perplexe, ne savait que dire ; enfin, il se décida : – Je ne connais pas les Folies-Bergère. J’y ferais volontiers un tour. Son compagnon s’écria : – Les Folies-Bergère, bigre ? nous y cuirons comme dans une rôtissoire. Enfin, soit, c’est toujours drôle. Et ils pivotèrent sur leurs talons pour gagner la rue du Faubourg-Montmartre. La façade illuminée de l’établissement jetait

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travers ce voyage en Italie . Ce voyage le ramène à peindre des formes plus traditionnelles. Le dessin va reprendre le pas sur la couleur, il va chercher à renouveler sa manière avec des formes plus traditionnelles. Edouard Manet achève un bar aux Folies-Bergères la même année, il n’exposa jamais avec les impressionnistes mais à partir de 1870, il s’unit à eux dans leurs innovations , expérimentations tout en gardant la structure ferme plutôt traditionnelle . Manet travaille aussi en bord de seine

gouvernante, et qu’on ne me demande pas le pourquoi, car je n’aurais jamais fini. – Voici maintenant le Berger de Philida4. – Ce n’est pas un berger, dit le curé, mais bien un l’on trouvera les honnêtes et paisibles amours du berger Frexano et de la belle bergère Fortune, Barcelone, 1573. 1 2 3 4 Par don Bernardo de la Vega, chanoine de Tucuman, Séville, 1591. Par Bernardo Gonzalez de Bobadilla, Alcala, 1587. Par Bartolome Lopez de Enciso, Madrid, 1586. Par Luis Galvez de Montalvo, Madrid, 1582. 90

pas assez de sombre. Il faudrait un très beau jardin, très vaste. Ce serait charmant. Où veux-tu aller ? » Duroy, perplexe, ne savait que dire ; enfin, il se décida : - 15 - « Je ne connais pas les Folies-Bergère. J’y ferais volontiers un tour. » Son compagnon s’écria : « Les Folies-Bergère, bigre ? nous y cuirons comme dans une rôtissoire. Enfin, soit, c’est toujours drôle. » Et ils pivotèrent sur leurs talons pour gagner la rue du Faubourg-Montmartre. La façade illuminée de l’établissement

d’ombre, pas assez de sombre. Il faudrait un très beau jardin, très vaste. Ce serait charmant. Où veux-tu aller ? » Duroy, perplexe, ne savait que dire ; enfin, il se décida : « Je ne connais pas les Folies-Bergère. J’y ferais volontiers un tour. » Son compagnon s’écria : « Les Folies-Bergère, bigre ? nous y cuirons comme dans une rôtissoire. Enfin, soit, c’est toujours drôle. » Et ils pivotèrent sur leurs talons pour gagner la rue du FaubourgMontmartre. La façade illuminée de l’établissement