Un bar aux Folies Bergère

lui aussi semble rêver, sans que leurs regards ne se croisent. Il présente deux réalités simultanées. La glace opère la jonction entre le visible el l'imaginaire, déployant à la fois une image du réel et une figuration de la rêverie.avec le miroir du bar qui ne reflète pas exactement ce que nous avons au premier plan et surtout qui semble se tordre vers la droite en révélant un homme inattendu et un dos de jeune femme qui ne correspond pas exactement à ce qu’on voit d’elle de face... - soit il ne se

« Un Bar aux Folies Bergère » d’Edouard Manet 1881 Composition L’ensemble du tableau est organisé autour de la serveuse. Le personnage s’aligne sur une ligne verticale qui partage l’image en deux. Mais ce partage n’est pas symétrique à cause des reflets du miroir situé derrière la serveuse. A gauche de cette ligne centrale on a une vue assez large de la salle et des clients ; la partie droite du tableau est remplie grâce au miroir. Les lignes horizontales (le balcon ; le marbre du bar,…), souvent

aquarelles. Parmis tout ces trésors j’ai choisis de vous présenter : Premièrement, Le dejeuner sur l’herbe , (1863) qui a fait scandale. Puis, Olympia (1863) qui eu le même succès que le premier. Enfin, la derniere œuvre d’Edouard Manet : Un bar aux Folies Bergère (1881-1882). Le Déjeuner sur l’Herbe, 1863 Le déjeuner sur l’herbe, 1863 Le Déjeuner sur l’herbe est le tableau d’Edouard Manet le plus connu. Il fit scancale car dans ce tableau il y a une femme

Travail de session Un bar aux Folies-Bergères par Édouard Manet Travail présenté à Vincent Lavoie HAR1475-10 Les approches critiques et théoriques en histoire de l’art Par Félix Desbiens-Petit DESF08019000 Histoire de l’art Université du Québec à Montréal 16 mars Les œuvres peintes d’Édouard Manet ont subi en leur temps toutes les critiques et les sarcasmes possibles comme elles ont probablement suscité de même toutes les interprétations et analyses imaginables

commence a ressentir des douleurs aux jambes. En 1881 il entreprend d'évoquer les saisons par des figures féminines et exécute le Printemps. Sa santé ne s'améliore pas. Il fréquente les Folies-Bergère ouvertes en 1880 et y puise l'inspiration du Bar aux Folies-Bergère. Ces deux toiles (Le Printemps et le Bar) sont enfin présentées au Salon avec un grand succès. Peu avant le 25 mars 1883, il peint encore des fleurs. Bientôt il lui devient impossible de coordonner ses mouvements. La gangrené se

Elle aimait beaucoup voyager, durant sa vie elle a fait le tour du monde. En 1899, elle rencontre Ernest qui tient un bar à Nice. Elle travaille pour lui comme caissière au Garden Bar. 1900, elle part avec un inconnue pour l'exposition universel à Paris, ou elle est chargée de vendre des produits d'Afrique dans le stand de l'homme qu'il la ramenée. En 1903, Jules Dumien, client du bar, propose de la ramenée à Paris pour travailler comme femme-bilboquet, ou l'autobolide devait se faire. Elle signe un

l'espace et les corps, comment ils s'intègrent dans l'espace cf La société du spectacle de Guy Debord. Spectacle de rue qui est venu à l'intérieur cf « le fort » des halles en tant que spectacle/ les effets de plans construits par des pans cf bar aux folies bergères de Forain – le marbre, le regard et les mains désoeuvrées dans « la prune » de Manet sans profondeur, sans perspective ; tableau d'intérieur traité comme un tableau d'extérieur. « les consolantes » les femmes qui vendent leurs charmes

pauvre poète, ------------------------------------------------- 1839 ------------------------------------------------- Gustave Caillebotte, Rue de paris, temps de pluie, 1877 ------------------------------------------------- Manet, Bar aux Folies-Bergères, ------------------------------------------------- 1881

En graphisme, la plus célèbre mise en abyme est celle de la boîte de "Vache qui rit" sur laquelle une vache porte des boucles d'oreilles qui elles mêmes sont des boîtes de "Vache qui rit ». La mise en abyme en peinture MANET Édouard, Un bar aux Folies Bergère,1882. Huile sur toile, 96x130 cm, Londres, Courtauld Gallery. VELÁZQUEZ Diego, Les Ménines ou La famille de Philippe IV d'Espagne, 1656-57 Huile sur toile, 318x276 cm, Madrid, Museo del Prado. VAN EYCK Jan Les époux Arnolfini, 1434. Huile

Le Marché de Pontoise -1886-) Paul Cézanne (Nature morte à la bouilloire -1869-, Marronniers et ferme du Jas de Bouffon -1885-, L'aqueduc -1885-, Montagne Sainte Victoire -1906-, Vieille Femme au rosaire -1896-) Edouard Manet (Un bar aux Folies Bergère -1992-, Vase de pivoines sur piédouche -1864/1865-, Fleurs dans un vase de cristalve -1882-, Lilas et roses -1883-, Melon et pêches -1866-)