Yiddish

retenu de son œuvre la nécessité de l’errance.  BEATNIK : nom et adjectif_ 1959, « Voici les beatniks », l’Express, 21mai 1959 ; mot américain beat, pour beaten « battu », et en argot « foutu, paumé » dans l’expression the beat generation, et suffixe yiddish américain d’origine slave –nik, suffixe d’agent équivalent à « le type qui est, qui fait … ».          Aux Etats- Unis, Membre d’un groupe intellectuel révolté et asocial.          (V. 1965) Jeune homme ou jeune fille révolté (e) contre la société

américain du management : Do what you do best, outsource the rest (« Faites ce que vous faites le mieux, externalisez le reste »). Enfin, pour beaucoup d’entreprises, délocaliser est hélas une question de survie. On peut citer à ce sujet le proverbe yiddish : « Il vaut mieux travailler à l’étranger que mourir chez soi »2 B- Effets de la délocalisation : I- Les avantages et inconvénients des délocalisations : 1- Les avantages des délocalisations : Les délocalisations créent des emplois dans les pays

I was terrified to be alone in this strange place. I stayed on Ellis Island for a few days, until I was feeling better. I had no toys with me. I didn’t know of such things. But there were other sick boys to keep me company. Some of them spoke Yiddish, my language. We ate in a huge dining room. The food was different – it was American style. But it was good, especially the milk. 30 There was a long gate that led to the boats that took people off the island, across New York Harbor*, to the

tu as trouvée. Cela t’a apparemment satisfait. Mais au risque de te décevoir, je ne suis pas une Macha russe. Pas du tout. Je m’appelle ainsi car le prénom de mon arrière grand-mère juive polonaise était Mache (prononcer Maché). C’était un prénom yiddish, comprends-tu ? En fait je suis une Macha juive.Je ne sais pas si tu me parleras encore en comprenant ta méprise. Je vais guetter ta réponse avec un serrement au cœur. Réponds-moi vite, Sacha. MachaDe : Sacha <sacha@intercom.fr> À : macha@intercom

d'Europe occidentale expulsent les juifs successivement. Ils se réfugient en Europe de L'E en majorité (All E (prusse), Lituanie, Pologne [30%], Ukraine, Russie). *Ils y connaissent un 2e age d'or car on les y laisse tranquille. Ils inventent le Yiddish (lge;vieil alld + slave + hébreux+araméen). b)L'antisémitisme du XIXe siècle et la solution sionniste *Ms au XIXe, la situation se dégrade car ces régions où sont les juifs sont envahies par la Russie qui est antisémite pr des raisons religieuses

on les expulse définitivement en 1306 avec Philippe le Bel. Il ne reste de juifs qu’à Avignon sous la protection du Pape ( Portugal, 1640 Les juifs vont alors vers l’est dans les Balkans, quelques-uns dans le Rhin (ont alors appris à parler le yiddish, un vieil allemand). L’Italie n’a pas expulsé les juifs mais en a accueilli avec une tradition d’assimilation. En Allemagne ça dépendant des villes (Strasbourg : pouvaient y vivre le jour mais devaient partir pour dormir dehors, la cloche du soir

dans l’expansion territoriale. Les dégâts culturels[modifier] La Shoah est aussi une catastrophe culturelle irréparable. Le yiddishland d’Europe centrale et orientale est pratiquement anéanti, et l’on estime que les trois quarts des locuteurs du yiddish ont disparu pendant la guerre. Si la France n’a perdu « que » le quart de sa population juive, et que le monde israélite français en tant que tel continue d’exister, en revanche, les brillantes communautés juives d’Amsterdam, Berlin, Vienne, Budapest

-in-Archiv für di Geschichte des Sozialismus und der Arbeiterbewegung, Vol.V, 1915 ROBERTI M. Lettera di BAKUNIN : attualità del suo pensiero -in-A rivista anarchica, a.III, n°3, marrzo 1973 ROCKER Rudolf Michael BAKUNIN. Ein biographische Eskizze (yiddish) Leeds, Leedser Arnarchistischen Group, 40p, 1902 ROCKER Rudolph Max NETTLAU, el Herodoto de la Anarquia Mexico, Estela, 1950 ROEHRSSEN C. L’anarchismo nello Stato moderno Milano, 1974 ROMANO Aldo Storia del movimento socialista in Italia

groupe est devenu très hétérogène, ne relevant pas nécessairement d’une culture homogène rigoureuse. La culture juive n’existe pas en tant que toile de fond commune, bien qu’il y ait des dénominateurs communs. - Les langues sont nombreuses : Yiddish (Europe centrale), Ladino (Judéo- Espagnol), Judéo- Alsacien, Ivrit (Hébreu moderne, descendant de l’hébreu biblique : Israël). La définition de la judéité rejoint- elle un sentiment d’appartenance ? - Pas de réponse, mais il y a des moyens

solution que dans l’expansion territoriale. Les dégâts culturels La Shoah est aussi une catastrophe culturelle irréparable. Le yiddishland d’Europe centrale et orientale est pratiquement anéanti, et l’on estime que les trois quarts des locuteurs du yiddish ont disparu pendant la guerre. Si la France n’a perdu « que » le quart de sa population juive, et que le monde israélite français en tant que tel continue d’exister, en revanche, les brillantes communautés juives d’Amsterdam, Berlin, Vienne, Budapest