Yiddish

les Juifs d'Europe ont vu disparaître à jamais les foyers les plus brillants et prospères de leur culture, avec l'éradication sans retour des fortes communautés de Berlin, Vienne, Amsterdam, Vilnius ou Varsovie. Les trois quarts des locuteurs du yiddish ont péri. En Europe de l’Est, les rares survivants des camps sont souvent insultés voire assassinés à leur retour, en particulier par ceux qui ont pris leurs biens en leur absence. Il n'est pas rare alors d'entendre des Polonais ou des Tchécoslovaques

créer une identité nationale par la diffusion d’un langage unique. La langue est ce qui a servi d’argument aux Prussiens pour prendre l’Alsace Lorraine. Quand Israël a été crée en 1948 l’hébreu a été remis à jour comme langue officielle et non pas le Yiddish, qui est très peu parlé par les Juifs séparâtes. L’Hébreu a donc été le dénominateur commun pour servir aux citoyens d’Israël, l’hébreu n’est pas la langue parlée par les israéliens mais l’Etat veut diffuser au maximum cette langue. En ce qui concerne

Francesca Moccagatta sous le titre de ‘’Le cognate’’ (1994), la pièce ayant été jouée cinq ans, d’une façon très physique, à la manière de «la commedia dell’arte» ; - en polonais par Jozaef Kwaterko sous le titre de ‘’Siostrzyezki’’ (1990) ; - en yiddish par Pierre Anctil et Morgentaler Goldie sous le titre de ‘Di Shvegerius’’ (1992), la pièce ayant été représentée au Centre Saydie Bronfman de Montréal, en juin 1992. La pièce connaît donc une carrière internationale qui permet de constater que les

peu plus tard un gémissement, cette fois en allemand : « Dieu, Dieu, que je souffre! » - « Voulez-vous entrer, monsieur le professeur? » dit le baron. - « Ce n'est pas encore le moment. » Enfin on entend dans la chambre voisine un cri inarticulé en yiddish - « Ai, ai waih »; alors le médecin jette ses cartes et dit : « C'est le moment! » Pour montrer que la douleur fait surgir la nature primitive en dépit des entraves de l'éducation et qu'à juste titre un fait en apparence insignifiant emporte une décision

les Juifs d'Europe ont vu disparaître à jamais les foyers les plus brillants et prospères de leur culture, avec l'éradication sans retour des fortes communautés de Berlin, Vienne, Amsterdam, Vilnius ou Varsovie. Les trois quarts des locuteurs du yiddish ont péri. En Europe de l’Est, les rares survivants des camps sont souvent insultés voire assassinés à leur retour, en particulier par ceux qui ont pris leurs biens en leur absence. Il n'est pas rare alors d'entendre des Polonais ou des Tchécoslovaques

SaintJacques et Viala rappellent d’ailleurs que les « valeurs esthétiques [celles qui constituent le canon] ont elles-mêmes des fondements politique et idéologique » (op. cit.: 71). 62 Il y a de nombreux textes traduits du russe, de l’anglais, du yiddish, de l’allemand, de l’arabe, etc. 69 A. Circulaires officielles et programmes En collège et lycée, les finalités et objectifs généraux de l’enseignement visent la formation d’une personnalité, l’autonomie, la citoyenneté et la responsabilité

personnes très sociables, disposant d’un réseau de contacts important et qui diffusent les recommandations 1. Gladwell M., Le point de bascule : comment faire une grande différence avec de très petites choses, Transcontinental, 2003. 2. Maven : du yiddish signifiant « qui accumule le savoir ». 98 © Groupe Eyrolles HISTOIRE D’ECU des mavens auprès d’un public beaucoup plus large. Les mavens et les connecteurs ne sont pas nécessairement connus de ceux qu’ils influencent, car ils ne sont pas

de dénoncer, déjà, le génocide qui commence. On peut y parler yiddish, la langue des juifs d’Europe de l’Est, pourtant interdite en terre russe depuis l’avènement du communisme. « L’ange de la mort se tient à votre seuil », prévient le poète Peretz Markish. « Nous ne pardonnerons pas les indifférents. Nous maudirons ceux qui s’en lavent les mains », clame l’écrivain Ilya Ehrenbourg. Pour Staline, l’appel, relayé par la presse yiddish de New York, vise surtout à mobiliser l’importante communauté juive

Il y aussi des Chrétiens. Divisions entre les Juifs selon l’origine. 4 types d’origine des Juifs d’Israël : les Ashkénazes (= Allemands au sens littéral) : en fait ce sont les Juifs originaires d’Europe centrale et orientale. Ils parlaient le Yiddish. Ils avaient un niveau d’instruction élevé. Ils votaient travaillistes ; les Séfarades (originaires d’Espagne et d’Afrique du Nord), qui en général étaient plus pauvres, avec un niveau d’instruction moins élevé, et qui votaient plutôt à droite. Ils

les Juifs d'Europe ont vu disparaître à jamais les foyers les plus brillants et prospères de leur culture, avec l'éradication sans retour des fortes communautés de Berlin, Vienne, Amsterdam, Vilnius ou Varsovie. Les trois quarts des locuteurs du yiddish ont péri. En Europe de l’Est, les rares survivants des camps sont souvent insultés voire assassinés à leur retour, en particulier par ceux qui ont pris leurs biens en leur absence. Il n'est pas rare alors d'entendre des Polonais ou des Tchécoslovaques