(1789/1814) Entre utopie & répression
Entre utopie & répression
Le voleur et le pauvre : figure de la délinquance
Contexte politique instable, pauvreté augmente dc délinquance augmente, mendiants vagabonds, pas de travail en 1789. Infractions différentes de l’ancien régime et s’attaquent aux valeurs nouvelles de la déclaration de 1789 comme le droit de propriété, beaucoup de vols.
Nouvelle valeur : le travail est choisit.
Le voleur fait peur à tout le monde, parfois bandes.
Brigandage se développe de 10 à une 100aine d’individus, grande mobilité, surtout entre 1795 et 1799 (directoire).
1ère réforme du brigandage date de l’été 1789 => mouvement de panique gagne les campagnes françaises car une rumeur court qui est que les brigands vont venir dévaster les campagnes, donc les paysans s’arment et vont vers les châteaux pour le piller & envahir, Grande Peur s’est terminée le 4 août 1789 avec l’abolition des privilèges.
2 affaires célèbres illustrent le directoire, nouveauté avec des agressions à mains armées, attaques de diligences sur des grandes routes, rançons imposées, torture des victimes souvent dans les fermes isolées.
- Fin révolution française : affaire du courrier de Lyon, on découvre les corps mutilés de deux postiers, cargaison a disparu, la police et la gendarmerie arrêtent les auteurs du crime, cependant ils clament leur innocence. En effet, c’était une erreur puisque les vraies coupables se sont dénoncés => police & gendarmerie & justice ne communiquent pas donc elles ont mal fait leur travail, pas de communication des informations = problème important.
- 1798 : affaire de la bande d’Orgères, 12 hommes armées vont dans une ferme isolée, ce sont des chauffeurs, la ferme appartient aux Fousset, celui-ci ne fait aucune révélation mais décède 12 jours après, cette fois la Police & la Gendarmerie travaillent ensemble dans l’enquête, arrêtent des suspects, 23 condamnés à morts, 30 condamnés au travail forcé, des autres sont acquittés.
Un réseau policier