«1984** », George Orwell Le commandement des anciens despotes était : 'Tu ne dois_ pas_.' Le commandement des totalitaires était : '_Tu dois_.' Notre commandement est : '_Tu es_.' Voilà un extrait du roman « 1984 » de George Orwell qui représente bien contre qui Winston, héros du roman, va devoir se frotter pour pouvoir avoir la liberté de dire que « 2+2=4 ». Néanmoins pourquoi s’en faire ? Le monde et L’Océania ne se sont jamais aussi bien portés : les récoltes augmentent d’années en années, on a même droit à du chocolat, et l’Océania est proche de la victoire. De plus, notre relève est assurée, les gosses nous dénoncent si, par malheur, on ose critiquer ne frusque que le fonctionnement de la diffusion d’informations En effet, c’est dans l’après guerre que Orwell, écrivain anglais, va dépeindre une société totalitaire, où « Big-Brother », personnage allégorique va ton mettre en œuvre pour ne pas seulement contrôler vos actes, mais également votre pensée, votre mémoire, votre histoire mais également notre Histoire. Ce monde est constitué de trois « Super-Etats » : L’Océania dirigée par « Big-Brother », l’Eurasia et l’Estasia qui sont en perpétuelle guerre l’un contre l’autre dans le but de maintenir la population dans un sentiment de peur et de nationalisme continu. Dans son roman d’anticipation, Orwell critique, sous le personnage allégorique de « Big-brother », Staline et son désir de société parfaite réglée par les tortures psychologiques et physiques auxquels Winston va devoir goûter pour être remis sur le droit chemin, le chemin vers l’amour de « Big-Brother » et son Parti. Ce qui fait la force du roman n’est pas seulement son thème mais c’est aussi la richesse de ses personnages, Winston, personnage dont la seule vue d’un rat le fait monter au plafond ainsi que Julia, dont le même « crime par la pensée » va la faire se rapprocher de Winston. De plus, cette « novlangue » créée dans le seul but de supprimer un maximum de vocabulaire pour faire