accuité visuelle
-la rétine périphérique présente une plus grande sensibilité que la rétine centrale ; d’une part les batonnets sont individuellement plus sensible que les cônes, d’autre part le trajet centripète de l’information est beaucoup plus convergent chez les bâtonnets que chez les cônes, il en résulte une zone de collecte de photons beaucoup plus étendue pour chaque cellule ganglionnaire (large sommation spatiale) qui augmente donc la sensibilité au détriment de la résolution spatiale
- la rétine centrale assurera une vision en pleine lumière, grâce aux cônes dont le seuil d’activation est plus élevé que celui des bâtonnets (en pleine lumière l’activité des bâtonnets sera saturée), et qui, de par leur organisation peu convergente avec les cellules ganglionnaires (faible rapport photorécepteurs/cellules ganglionnaires) donneront une bonne résolution spatiale, au détriment de la sensibilité
- à cause de sa faible épaisseur au niveau de la fovéa , les photorécepteurs de la rétine centrale recevront une plus grande quantité de lumière que ceux de la rétine périphérique (une grande partie des photons ayant de toute façon déjà été absorbée par les divers milieux oculaires situés sur leur passage). Enfin, au niveau de la fovéa, la dégradation, par dispersion dans les couches de la rétine, que subit la qualité de l’image formée par l’optique oculaire, sera à son minimum.
Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux auteur du XVIIIème siècle , utilise le théâtre pour mettre en scène des gens amoureux et faire triompher leurs sentiments au-delà des convenances sociales . C’est le cas dans les Fausses confidences pièces en 3 actes (1737) mais aussi dans le Jeu de l’amour et du hasard .
Dans la scène 13 de