En février 2006, en France, Boris agé de 23 ans est interné en hôpital psychiatrique pour cause d’addiction aux jeux vidéo. Enfermé 20 heures par jour dans une salle parisienne de jeux vidéo en réseau, il avait déserté l’école et perdu 20 kilos. Celui si ce prenait pour son personnage virutal et il était devenu très agressif, meme schizophrénique1. Des cas comme Boris, bien qu’extrêmement rares, ramènent les problématiques entourant le jeu vidéo sous les projecteurs.
L’addiction au jeu vidéo est le besoin quotidien voir même abusif de joué à des jeux vidéo. L’addiction recouvre deux phénomènes différents qui sont la dépendance et l’usage nocif, deux niveaux d’utilisation de jeux différents. La pratique excessive peut être cause d’une difficulté notamment familiale. Souvent l’addiction est passagère. Plusieurs « modes de consommation » sont observés allant de la consommation occasionnelle a la consommation excessive variant d’une heure par jour a plus de 7 heures.
Les effets ne sont pas des moindres et on observe chez les joueurs une mauvaise humeur lorsque ils ne jouent pas une quasi - inexistence de vie sociale et même chez certains le développement de l’épilepsie.
D'après plusieurs sources, les entreprises de jeux vidéo chercheraient à créer l'addiction pour vendre plus en rendant les consommateurs addicts nottement en exploitant le "cycle de compulsion" du cerveau que nous étudirons en détails.
De plus, durant l'année 2012, les jeux vidéo ont généré 111 milliards de dollars de chiffre d'affaire dans le monde. Un tel chiffre n'est pas negligeable et nous amene donc a nous interroger:

Très appréciés par les jeunes, désapprouvés par les parents les jeux vidéo tiennent une place importante dans les loisirs de la société actuelle.
Tout d’abord cantonnés aux jeunes garçons ils ont su s’orienter vers un public beaucoup plus large notamment avec la sortie de la console Wii de Nintendo.
Mais si les parents redoutent tant l’utilisation de jeux vidéo chez