La Peste, Albert Camus

Partie 4, chapitre 3 :

Dans le texte nous pouvons lire « tous attendaient » qui sous entends que l’enfant va mourir.
Le pronom « tous » représente Rieux (le médecin), Tarrou (assistant), Rambert (journaliste), Castel (médecin chef), Paneloux (prêtre).
On a la preuve que l’enfant va mourir car il est entouré de deux médecins qui attendent car ils ne peuvent rien faire.
« Mon dieu, sauvez cet enfant » est dit par le prêtre qui demande un miracle se qui est encore une preuve que l’enfant va mourir.

« Les yeux toujours fermés » nous montrent que l’enfant doit être sous morphine.
L2-3 : il souffre tellement qu’il se raccroche au lit, « et soudain … s’immobilisa » il souffre de plu en plus, il cherche une position pour moins souffrir.
« Argile grise » : sa peau à la couleur de la mort, la mort est déjà présente.
« Sortit un seul cri continu … si peu humaine » : un cri violent qui montre qu’il agonise.
« Cette bouche enfantine, souillé par la maladie » : l’enfant est violé par la maladie (métaphore), l’enfant est un être pur.

« Rieux serrait les dents » afin de ne pas montrer son désarroi, sa souffrance.
« Tarrou se détourna » pour ne pas regarder la scène.
« Castel qui ferma le livre » : l’enfant ne pourra plus parler. Paneloux prie pour sauver l’enfant.

Le titre montre que la vie est injuste car elle s’attaque à un être pur qui ne le méritait pas.
Ce texte est tragique car l’enfant va mourir et personne ne peut le sauver.
La peste est un châtiment. Paneloux a dit « si la peste est la vous l’avez cherché c’est un châtiment ».

« La peste, un châtiment divin » :
L’homme à fauter il subit une punition.
Paneloux est petit et trapu, a de grosses mains, est habillé tout en noir, rubiconde (jours) e avec des lunettes rondes.
Il a une voix forte, passionnée, qui porte loin.
Il parle a l’assemblé d’une seule phrase comme a une armée. Il parle violement. Le parvis est devant l’entrée de l’église.
Il y a dans l’anaphore « mes