question

1 Comment on peut être sur d’un fait qu’on ne constate pas
On ne peut être sur d’un fait que l’on constate pas , on peut juste faire des suppositions . Il y a deux types de faits, ceux constatés « la montre » et le fait de croire ou pas son ami avec ses promesses. « Son ami est à la campagne » ils peut très bien y être mais ne pas y être. Tout ceci se base sur la confiance entre les deux êtres humains. Il peut donner plusieurs raisons, mais ces raisons sont d’autres faits qui ne sont pas constatés. Un homme qui trouve une montre , ceci est un fait , on peut bien imaginer par déduction qu’un être est passé par là et ensuite d’avoir égaré cette montre a cette endroit . Mais il n’y aura pas de constatations formelles et précises si le fait n’a point été vu réellement.
2-On trouve le verbe « inférer » et sa forme nominale « inférence ». Cherchez dans le texte des termes ou expressions qui permettent de comprendre le sens de ces deux mots, et construisez en une définition

Entre la ligne21-23 « a priori […] conjonction constante l’un avec l’autre », nous pouvons voir ,d’après le texte, qu’il y a une connexion entre le fait et ce qu’on peut déduire « inférer ». Comme par exemple, le fait qu’il y ait une montre en désert ceci est un fait , et on peut songer qu’une personne est passer par là. Le rapport entre le fait et l’inférence est réel. Dès qu’il y a un fait, il y a de la réflexion et donc par la suite de la déduction. Par exemple, celui du texte, si il envoi des photos de lui a la campagne ( fait ) par la suite on peut déduire que c’est un vrai, car il a montré le fait, même si nous ne l’avons pas constaté de nos propres yeux.
3-Pourquoi, selon Hume, ne peut-on faire aucune inférence sans expérience ?
D’après Hume, si nous avons aucune connaissance personnelle, nous ne connaissons rien a la vie , objets , familles , principes ,religions … alors l’homme ayant aucune connaissance sera incapable de découvrir l’une de ses causes ou l’un de ses