Albert camus, l'étranger
Fameux : « fama » en latin = la réputation
Trouver la biographie d’A.C et J.P.S (voir feuilles)
Algérie = colonie française
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L’histoire se passe à Alger. A.C, meurt jeune, à Paris, dans un accident de voiture.
Il a reçu le prix Nobel de littérature en 1957 (un peu avant Sartre).
Discours de Suède -> le discours fameux qu’à fait A.C. fut édité.
Nobel : celui qui a inventé la dynamite, récompenses et reconnaissances internationales.
Maeterlinck -> le seul belge qui ai reçu le prix Nobel de littérature au début du 20Ès.
Que voit-on ? le texte est écrit à la première personne, narrateur, personnage qui parle de lui-même.
La question de la focalisation ? -> point de vue de la narration/du narrateur, par lequel le texte est raconté.
Un écrivain fait ce qu’il veut.
Meursault (on ne connaît pas son prénom, et c’est volontaire). Pourquoi ? Car M. est quelqu’un qui reste à distance, en dehors des autres, il n’y a pas de prénom car indication de Camus -> il est l’écart.
Dans la première partie, on dirait que M. tient une sorte de journal avec des évènements totalement insignifiants, banals, qui n’ont pas d’importance. Et d’autres faits signifiants.
Il mélange les 2 et on a l’impression d’une simultanéité. On dirait qu’il l’écrit au moment que cela se passe mais c’est impossible. Le récit fut narré bien plus tard.
Peu d’introspection, M. ne se livre absolument pas, il a peu d’intimité avec lui-même, même par rapport à lui il reste à distance.
M. place tous les évènements au même plan, il n’y a pas de hiérarchie. C’est une sorte de nivellement de l’intérêt.
Mort de sa mère, balade dans la rue, tirer sur un arabe -> rien n’a d’importance.
Cette façon d’exprimer les choses répond au fait que rien n’a d’importance et que notre vie n’a pas de sens. Dans la 2ème partie, la narration est un peu plus différente ( moins d’impression de simultanéité), récit rétrospectif. Il reste 11 mois en prison. Il va mourir, c’est