Alfred de musset, la nuit de mai, 1835, 1835
« ses roseaux » renforce cette idée. Poussent dans des zones marécageuses donc lieu humide et eau stagnante, ce qui nous éloigne là encore de la joie et de la vie. « aux loin s’abattre » = maintien de la solitude · Vers 7 à 9Forment une troisième phrase.Les oisillons sont caractérisés avec des verbes de mouvements (saisir, courent, et secouant) qui symbolisent la vie. Allitérations en « oy » et « ou » qui pourraient mimer les cris des oisillons affamés. « Déjà » simultanéité des actions « croyants » ils sont dans l’illusion. Participe présent de plus. « goitres hideux …afficher plus de contenu…
Le poète se sent seul au monde ; on peut aussi comprendre qu’il n’y a qu’une seule source d’inspiration qui vaille : ses propres sentiments, sa propre souffrance. · Vers 17 à 22Forment la sixième et dernière phrase de l’extrait étudié. Phrase en 6 vers, amplification de la phrase. La proposition principale est rejetée au vers 19.« Sombre et silencieux, étendu sur la pierre » promis à la mort ; c’est déjà une tombe. « entrailles » référence biblique (jésus, le fruit de vos entrailles). Donne au sacrifice une dimension concrète et permet au lecteur d’en imaginer l’horreur et la douleur. « Dans son amour sublime il berce sa douleur »« amour sublime