Compte rendu en français :

Le texte étudié est issu du journal « der Spiegel » de 2009 écrit par Nils Klawitter dans la rubrique Wirtschaft.
Ces deux documents nous montre que l’industrie alimentaire des animaux n’a pour but que le profit au dépend du bien-être des animaux.
Le secteur des animaux domestiques surmonte la crise économique non pas toujours pour le bonheur des animaux.
Face à la crise, la branche des animaux domestiques dotés de plusieurs milliards s’en sort.
De la nourriture aux accessoires, ce secteur sait se diversifier et cela même dans les accessoires de luxe.
En 2009, les Allemands ont dépensé environ 2.9 milliards d’euros pour l’alimentation animale, mais ¼ de cette somme a été dépensée pour l’alimentation des nourrissons. C’est à ce moment qu’on peut se poser des questions…
On se rend compte avec le comparatif des prix que du lait normal est moins cher que le lait pour chats, la nourriture pour chiens est plus chère qu’une pizza et la viande moins chère que des produits alimentaires pours chats.

Les prix sont faramineux mais n’empêche pas la consommation.
Et pourtant le bonheur des animaux n’est pas toujours assuré
Les animaux ne se sente pas plus heureux avec des accessoires de luxe et ne dorment pas mieux dans un lit équipé de pierres précieuses
On considère les besoins des animaux similaires à ceux des hommes. Des produits alimentaires mauvais pour les animaux s’introduisent dans les croquettes et pâtés et cela à l’insu des consommateurs, seul l’acheteur attentif le verra.
C’est un engrenage si les animaux consomment des produits de mauvaise qualité, il aura besoin de pros biotiques vendus également par les mêmes industriels.
Les industries alimentaires se servent Des déchets alimentaires pour confectionner leurs produits

Réalisation d’un écrit en Langue Vivante Etrangère

Die Globalisierung ist ein weltweiter Phänomen geworden. Viele Unternehmen nehmen an der Globalisierung teil.
Die Unternehemen werden mit