Amélie Nothomb est née en 1967 à Kobe, au Japon. Son père, le baron Patrick Nothomb, est ambassadeur de Belgique, et elle est issue d'une famille aristocratique belge. Elle découvre seulement la Belgique à l'âge de 17 ans. Elle y finit ses humanités à l'institut Marie-Immaculée Montjoie d'Uccle pour ensuite entamer des études de philologie romane à l'Université Libre de Bruxelles. Son premier livre est "Hygiène de l'assassin" écrit en 1992, et composé presque exclusivement de dialogues entre un prix Nobel incompris et des journalistes, dans une discussion virant à l'interrogatoire. Cet aussi de cette manière que cette écrivaine arrive à exhiber les horreurs dont l'homme est capable à travers Péplum. Elle a écrit à ce jour une vingtaine de romans, et ils sont traduit à travers le monde. Elle raconte une partie de son enfance à travers quelque livres, tels que "Métaphysique des tubes", "Le sabotage amoureux", "Biographie de la faim" et "Ni d'Eve, Ni d'Adam". C'est a travers ces récit que l'on comprend que sa vie est guidée par les affectation de son père tout autour du monde. Elle a vécu son départ du Japon pour la Chine comme un exil, et vit tous ses déménagement comme des déracinements mais aussi comme " un nomadisme culturel qui décuple sa curiosité et renforce sa précocité". Elle plonge dans la potomanie, le besoin de boire constamment tout liquide à portée de main, qui engendre un alcoolisme infantile et ensuite tombe dans l'anorexie. Après ses études de philologie romane elle repart pour le Japon pour y travailler comme interprète. Une expérience malheureuse qu'elle romanca dans "Stupeur et tremblements" en 1999. Elle retourne donc en Belgique pour publier son premier