Analyse cinématographique du destin d'amélie poulain
La première métaphore que j’ai remarquée dans cette œuvre-ci, est lorsque Nino reçoit la «carte d’invitation » de la part d’Amélie, mais bien entendu, il l’ignore. Il a accroché sur sa lampe les photos qui sont au verso du message d’Amélie. Les photos discutent avec celui-ci et tente de lui livrer un message. On peut constater deux procédés de fabrication dans cette métaphore. Il y a l’invraisemblance de l’action qui est évidente, car une photo dans aucun cas ne peut parler et entendre des voix. L’intercalation de l’image de l’individu semble n’avoir aucun lien dans l’histoire, mais vient finalement nous dire clairement les intentions d’Amélie par le biais de la passion de Nino. La seconde métaphore se déroule alors que Lucien se fait traiter de tous les noms par Collignon. Amélie déteste cela puisqu’elle veut défendre Lucien, mais elle n’est pas plus à l’aise pour répliquer devant tout le monde. Alors, un parfait inconnu intervient et «souffle» une phrase à Amélie afin de répliquer au vieil épicier. L’effet crée est de renforcer une sensation puisque tout de suite après on voit les clients rirent comme jamais et Collignon est humilié. On apprend par l’intervention du narrateur qu’Amélie est une personne timide. La troisième métaphore est évidente. Nino est au café d’Amélie et elle n’a pas avoué que c’était elle sur la photo. À son départ, elle «fond» en eau qui s’éparpille sur le plancher. On peut le définir par un symbole, car, quelque chose qui fond et «s’évapore» peut être défini