Le premier tableau s’agit d’une huile sur toile peinte par Jean-Baptiste Antoine Guillemet en 1876, aujourd’hui exposée au musée des Beaux-Arts de Caen. Il fut peint deux ans après l’exposition fondatrice de l'impressionnisme.
Le tableau est diviser en deux partie; le ciel, nuage noir inquiétant qui annonce l’orage. Et le sol, composé d’éboulis et de d’une partie de la plage il utilise des couleurs sombre pour suggerer le mauvais temps.
On peut observer deux personnages s’en allant vers la colline où l'on peut apercevoir des habitations. Il sont représenter de fasson minime de telle sorte à ce que l’on comprend que c’est l’homme qui subit l’action et non le contraire accentué par la taille du tableau qui montre la force de la nature dans toute sa splendeur. Cet élément réfère en quelque sorte le coté romantique de la scène.
Les ligne de constructions de ce tableau :
La Lumière:

Les couleurs:

Les dimensions:

Pour le second tableau il s’agit de La vague, huile sur toile de Gustave Courbet peinte en 1869, exposé au musée d’art moderne André Malraux. Il s’agit d’un tableau peint au Havre, lieux qu’il découvrit enfant et dont il séjourna de 1865 à 1869.
Ce tableau est composé de trois parties; le rivage, sur lequel deux barques y sont posé, la couleur est dans un ton de marron. La vague, démontée, orageuse et inquiétante, aux couleurs verts sombres mélangées au blanc de l’écume. Et le ciel, chargé de nuages noirs orageux mitigés entre l’obscurité des nuages et la clarté du ciel bleu caché par ce dernier.
C’est deux peinture on un rapport très fort avec le réalisme bien que La plage de Villerville est quelques aspect impressioniste tous deux essaye de fixer le mouvement changeant de la mer et du temps sur la toile. C’est par le biais des peintures en série que Courbet se focalise sur ce qui constitue l'essence de la vague, à représenter ce qui la forme, immobiliser une masse d'eau en suspens.Contrairement au impressioniste qui dessineront plus