Analyse de pratique STAGE S5
Mon stage se déroule dans un ehpad de Mons en Baroeul, Les Bruyères.
La patiente en question est une dame âgée de 88ans. Elle revenait d’hospitalisation en chirurgie viscérale à St Vincent pour PEC d’une sigmoïdite aigue persistante et de plusieurs abcès abdominaux avec collections. Il y avait aussi une fistulation avec un épanchement intra abdominale.
Le questionnement / formalisation de la situation
Au retour d’hospitalisation (26/9 au 7/10), la patiente été très algique. Elle semblait crispée, elle hurlait pendant les soins. Elle été très en demande, et ne voulais pas qu’on quitte la chambre Elle été désorienté, ne savais plus ou elle se trouvait.
L’infirmière a accueilli le médecin traitant de la patiente après sa consultation. Le médecin a remis en place les traitements habituels. L’infirmière a demandé à son médecin s’il y avait possibilité de mettre en place un traitement antalgique plus efficace pour la douleur. Le médecin lui à répondu que sa douleur exprimé été psychologique. Il nous a demandé donc de faire des injections en sous cutanée de sérum physiologique pour soulager sa douleur sans que ce soit une prescription écrite. Cela m’a étonné au vue de la douleur de la patiente et des traitements antalgique entrepris aux urgences comme de l’actiskenan, des patchs de durogésic ainsi que du tramadol 200mgr /6h si besoin.
Le médecin craignait qu’en administrant des morphiniques ou antalgique de palier 2, l’absence de douleur pourrai masquer une éventuelle récidive de sa sigmoïdite, et a ajouté que la douleur été surtout psychologique. Il a donc prescris du tramadol 50 3f/jour.
Mon questionnement serait, jusqu’où peut-on accepter la douleur d’un patient à des fins thérapeutiques ?
La patiente est décédée à l’ehpad le 12octobre. Hypothèse de compréhension
Concept de la douleur :
"La douleur est une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable associée à une lésion tissulaire réelle ou potentielle ou décrite dans ces