Analyse de rimbaud: le dormeur du val
1. Le poème :
2. Prologue :
Arthur Ribaud est né la 20 octobre 1854 à Charleville, dans le nord de la France, il décède le 10 novembre 1891 à Marseille à l’âge de 37 ans.
Il commencera à écrire ses poèmes à l’âge de 15 ans et renoncera à l’écriture à l’âge de 20 ans.
Le poème sensation, composé de 8 vers, sera un de ses premiers écrits.
3. La trace, l’architecture du poème : (TOI)
4. La régularité et l’irrégularité : la longueur des vers :
Ce sont des alexandrins, c'est-à-dire des vers de 12 syllabes sauf pour le vers 7, qui lui est composé de 11 syllabes, c'est-à-dire un hendécasyllabe.
5. Le rythme du vers, la répétition : musicalité et sens :
• Le rythme : Le rythme est calme et soutenu sauf pour le vers 6, qui se lit d’une seule traite où là, le rythme est un peu plus long.
• La répétition :
Les vers sont croisés (le son « é » pour les vers 1 et 3 et le sont « ue » pour les vers 2 et 4), (le son « ien » pour les vers 5 et 7 et le son « ame » pour les vers 6 et 8).
Arthur Ribaud répète le verbe « aller », l’adverbe « loin », ce qui marque une marche dont on ne voudra pas forcément revenir.
• La musicalité : il y a des assonances en « é » dans la première strophe, les échos des « eur » dans le vers 3 (rêveur, fraîcheur), des « in » dans le vers 7 (loin, bien loin, bohémien). Toutes ces suites de son mettent un certain bonheur de lecture en place.
6. Les images du poème : les métaphores : (TOI)
7. Les réseaux lexicaux : les thèmes :
• Il y a tout d’abord les sensations, d’où le titre du poème...
Dans le vers 2, on peut lire « picoté » qui fait référence à une touchette agréable, on a ensuite, toujours dans le vers 2 « fouler » qui marque une heureuse, agréable avancée et l’adjectif « menue » qui montre la fragilité, la