Analyse du spectacle mardi a monoprix
Le Mardi à Monoprix est une pièce écrite par Emmanuel Darley, écrivain et dramaturge originaire de Paris, né en 1963. Après l’écriture de deux romans, Des petites garçons puis Un Gâchis, il se consacre largement au domaine du théâtre, notamment avec les pièces Pas bouger, C’était mieux avant, Être humain, Le Mardi à Monoprix, et beaucoup d’autres. Grâce à ses écrits théâtrales, il reçoit, en 2010, une nomination pour le Molière de l’auteur francophone vivant pour Le Mardi à Monoprix En 2009, Michel Didym met en scène cette pièce, accompagné de Jean-Claude Dreyfus et d’un contrebassiste. Jean-Claude Dreyfus, qui incarne le seul personnage de la pièce , commence à jouer dans des pièces de théâtre à l’âge de huit ans, mais s’engage plus sérieusement dans le monde du théâtre quelques années plus tard. Acteur aux multiples talents, il a reçu deux nominations pour le Molière du meilleur comédien en 1981 puis en 1998. C’est ainsi que le mardi 7 décembre, Jean-Claude Dreyfus s’est remis dans la peau de Marie-Pierre à l’Auditorium Francis Poulenc, à Brive la Gaillarde.
Dans Le Mardi à Monoprix, l’espace scénique repèsente des lieux differents selon le moment de la pièce. Cette espace n’est donc pas clairement définit. Ici, contrairement aux pièces moins contemporaines, les lieux changent en fonctions de l’acteur, tout dépend donc de celui-ci. Cependant, il est vrai que dans le théâtre plus classique, les lieux étaient beaucoup moins interchangeable, et nous pourrions même dire que c’est l’acteur qui était dépendant des lieux , et ceux-ci ne changeaient pas .
Les deux espaces de cette pièce ne sont pas mêlés. Malgré cette séparation dû au thêatre à l’italienne, l’acteur raconte ce jour de la semaine si particulier pour lui au public . Nous ne sommes pas seulement spectateur d’une pièce de théâtre , mais spectaeur de la vie de Marie-Pierre , et ça grâce à ce rapport créé par Jean-Claude Dreyfus.
Le décor représente un cabaret .