Analyse et r flexion partir de la pens e platonicienne
1. Platon dit que les choses multiples sont vues, mais pas pensées, alors que les formes sont pensées, mais ne sont pas vues. Nous pouvons commencer par définir ce que c’est une forme. Selon Platon, les formes sont les caractères essentiels et généraux des choses, par exemple les traits essentiels de la vertu ou de la beauté qui font qu’un acte est bon ou qu’une chose est belle. Donc, pour définir les formes des choses, il faut réfléchir, la beauté ne peut-être vue et est relatif à chacun. Quelqu’un peut trouver une rose comme étant la fleur la plus belle, mais quelqu’un d’autre préfère une autre variété. Ce que je veux en venir par-là est que la beauté et relatif et ne peut pas être visible, elle est évaluée par quelqu’un. Pour ce qui est des choses multiples, ils sont présents physiquement et nos sens peuvent le confirmer, donc penser ne sert à rien puisqu’elles existent déjà et n’est pas relatif à chacun. Par exemple, mon voisin voit la façade de ma maison exactement comment moi je la vois.
2. Il est difficile de dire que le concept de justice provient d’une connaissance innéiste, selon l’explication platonicienne, ou plutôt d’un processus d’abstraction, selon le modèle d’Aristote, mais je crois que le concept de justice provient d’un processus innéiste. Certains scientifiques en pédopsychologie ont observé le comportement d’enfants devant un personnage gentil et un personnage méchant. Tous les enfants ont regardé le bon personnage et ils n’ont aucunement regardé le personnage méchant. Une autre observation faite par les médecins est que de données deux biscuits à un nouveau-née et un seul à un autre et il démontrera sont désaccord avec cette décision de donner deux biscuits à l’autre, mais pas à lui par des pleurs ce qui nous prouve que le concept de justice est appliqué par les enfants et peuvent la reconnaitre. Si nous observons le processus d’abstraction d’Aristote avec le concept de justice, nous