analyse fourberies de scapin
Développement :
Au 17e siècle, les procédures judiciaires étaient étonnamment complexes. En effet pouvait, sans l’ombre d’un doute, être comparé à une ruche d’abeille tant il y avait de gens impliqués lors des procès. « Sergent, avocats, procureur, greffier, substitut, rapporteur, juges et leurs clercs » (l. ), Tous étaient présent. Scapin utilise cette longue énumération montre bien tous les gens impliqués lors d’un procès et, par le fait même, la complexité de la chose. Non-seulement les procès sont longs et complexes, mais ils sont aussi très coûteux. Tout au long du procès, « il vous faudra de l’argent pour le contrôle, il vous en faudra pour la procuration (l. ) Scapin utilise cette longue énumération des dépenses qu’un procès lui engendra, afin de dissuader Argante, un vieil avare d’entamer un procès. Pour être bien certain de l’y avoir totalement découragé, Scapin ajoute : « C’est d’être damné dès ce monde que d’avoir à plaider et la seule pensé d’un procès serait capable de me faire fuir jusqu’aux Indes. » Le valet utilise cette hyperbole afin d’intensifier l’impression générale d’un procès.
Ensuite, voyant qu’Argante ne lui cèderais pas 200 pistoles, il invente un personnage terrifiant, incarner par Sylvestre, le serviteur d’Argante, afin d’arriver à ses fins. Il décrit ce personnage comme étant « un de ces braves de profession, de ces gens qui sont