Rédaction d’un paragraphe d’analyse sur “ Des Cannibales ” ¸

Dans ce poème, Montaigne nous montre l’analyse des mœurs des cannibales. Pour commencer, le locuteur nous décrit les mœurs réalisés par les cannibales. Premièrement, il nous décrit ce que les cannibales font lorsqu’ils reviennent de la guerre : « Chacun rapporte, en trophée personnel, la tête de l’ennemi qu’il a tué, et l’attache à l’entrée de son logis. » (l.6 à 8) On voit bien ici que le locuteur nous explique qu’ils rapportent leurs victimes mortes et les qualifient comme étant des trophées. Deuxièmement, Montaigne nous montre le massacre que les cannibales font à leurs victimes : « Il attache une corde à l’un des bras du prisonnier, corde au bout de laquelle il le tient éloigné de quelques pas, de peur d’être blessé par lui, et donne au plus cher de ses amis l’autre bras à tenir de la même façon ; et eux deux, en présence de toute l’assemblée, le massacrent à coups d’épée. » (l.10 à 14) Dans ce passage, il y a de l’énumération pour montrer la souffrance que le prisonnier vit, il veut nous montrer à quel point c’est difficile. D’un autre côté, on emploie l’autre mort que les portugais utilisaient. En premier lieu, la mort employée ici n’est pas nécessairement meilleure que la mort infligée par les cannibales à leurs victimes : « les enterrer jusqu'à la ceinture et à leur tirer sur le reste du corps une pluie de traits, puis à les pendre. » (l.20 et 21) Il y a deux procédés ici. Le premier étant la répétition des conjonctions « puis », « et » pour créer un effet d’accumulation. Le deuxième étant une personnification, car on ne peut tirer sur quelqu'un une pluie de traits. C’était pour exprimer qu’ils leur tiraient sur le corps une infinité de fois. En deuxième lieu, Montaigne nous explique son point de vue sur cette mort infligée : « Je pense qu’il y a plus de barbarie à manger un homme vivant qu’à le manger mort, à déchirer par des tortures et des supplices un corps ayant encore toute sensibilité,