analyse thérèse raquin le morge et l'incipit
Nous devons alors nous demandé en quoi Thérèse Raquin est une œuvre naturaliste.
Il y a beaucoup de description dans ces texte. L'incipit de ce roman est la description du passage du Pont Neuf et la morgue décrit le cadavre de Camille. On trouve : des précisions chiffrées (" Ce passage a trente pas de long et deux de large " texte A) et des précisions de détails couleurs, de forme et matériaux («pavé de dalle jaunâtres »,« vitrage », « coupé à l'angle droit »texte A). De plus, ce lieu est hideux, rien est beau, le décor est misérable, lugubre et sordide. La description du passage est complet et suis le sens du regard du sol (des pavés) au plafond (un vitrage) en passent pas différentes boutiques d'un coté et des armoires de l'autre.
Le fait que l'on donne des noms au lieux (" rue Guénégaud, passage du Pont Neuf, rue Mazarine, rue de Seine)renforce la réalité de ce lieu . Le narrateur utilise un vocabulaire avec de connotations péjoratives : répétitions d'adjectifs à suffixe péjoratif : " jaunâtre ", " blanchâtre " texte A « verdatre » , « noirâtre » texte B et des adjectifs sans objectivité (" une nuit salie et ignoble ", " des formes bizarres ", " horrible couleur brune "texte A « allure maigre et pauvre » texte B) . Il y a des adverbes donnant une opinion " misérablement ", " étrangement " texte A « horriblement » texte B.
Dans l'incipit de nombreux mots appartenant au champ lexical de "bizarre" . («choses accumulées, dans un bric à brac de poubelle, ordures ...: énumération.
Dans la morge on trouve des mots appartennat au champ lexical du dégout « épouvante », « effrayante », « épouvantable ».
L'atmosphère du passage du Pont Neuf est étrange on ressent comme un malaise. Le regard porté sur le lieu n'est pas doté de sentiments. Tous ces procédés littéraires nous amènent au fait que le