1.0 — Identification du mouvement social
Dans le cadre de mon cours de défis sociaux et transformation des sociétés, j’ai choisi de prendre comme sujet d’examen d’un mouvement social la légalisation de la marijuana au Québec. Tout d’abord, je tiens à souligner que le choix du mouvement social n’implique en aucun cas ma position face à ce problème. Je n’ai pas de position, donc un des motifs qui me pousse à faire une recherche approfondie à se sujet est de vouloir ouvrir mon esprit sur les différentes positions face à la légalisation. De plus, quelques États américains ont depuis peu légalisé la marijuana.

Lors de se travail je vous parlerai uniquement de la volonté de vouloir mettre fin à la prohibition du cannabis au Québec ainsi que le groupe numéro un qui souhaite se changement : Le Bloc Pot. C’est un parti politique fondé en septembre 1998 par Michel Lalancette, Lise Dufour, Pierre Audet et Marc-Boris Saint-Maurice. En 2000, le Bloc Pot fonde un parti de niveau fédéral, le Parti marijuana. Trois ans plus tard, le Bloc Pot ouvre un bureau politique nommé le « Café Marijane », où la consommation de cannabis et des débats d’idées sont acceptés et alimentés par des bénévoles. Ils ont une moyenne de 21 candidats pour les 125 circonscriptions en élection, mais aucun n’est élu. Le Bloc Pot n’a jamais obtenu de sièges à l’Assemblée nationale du Québec, et ce depuis sa création. Le chef du Bloc Pot est Hugo St-Onge.
Avec des objectifs bien précis, mettre fin à la prohibition du cannabis et de fournir à la population des pistes de réflexion quant à cette légalisation. Ce groupe souhaite également que la consommation de drogue illicite et licite soit faite dans un environnement sécuritaire, éclairé et sécuritaire. Ils désirent par ailleurs, faire connaître à la population les applications industrielles du chanvre, une plante d’après eux qui pourrait solutionné plusieurs problèmes écologiques et économiques. De plus, une autre mission à leur programme est