Analyse de l'extrait d'yvonne de bourgogne
Pour vous, bonnes gens, je rayonne sur mon trôneAvec ma couronne, Personne ne soupçonne ce qui en mon sein bouillonne.Vous ne voyez que mon visage, Majestueux et sage.Moi qui n’aspire qu’à la souplesse.[…] Je veux de la souplesse ! Je ne veux pas d’ « Altesse » ! Souplesse, oooh ! Souplesse ! Haaah ! Ah ! Brûler, détruire ! […] C’est terrible ! C’est moi qui ait écrit cela ! […] Oh, je vois clair à présent : c’est tout simplement monstrueux ! Ignace… a donc lu cela ! Oooh ! Il y a un point commun – il y a un point commun… comme elle [Yvonne] farfouille, comme elle rumine en elle-même… Oh, en elle je saisis l’odieuse allusion à ma poésie. C’est un indice ! Elle me trahit ! C’est moi ! C’est moi ! C’est tout à fait moi ! Entre elle et moi il y a un point commun. […] Tous ceux qui la regardent découvrent le point commun avec Marguerite. […] ll suffit ! Elle doit périr ! […] Allons, allons – entrons discrètement dans sa chambre et versons quelques …afficher plus de contenu…
Il faut que mes traits transpirent toute la laideur qui est en moi, alors seulement je pourrai y aller. […] Qu’y-a-t-il ici ? Qu’y-a-t-il ici… d’anormal ? (Elle regarde autour d’elle.) Un désordre étrangement retors. Grimace, grimace, Marguerite ! […] Ah, je ne peux pas – c’est trop fou ! Attends un instant – voilà, barbouillons-nous, encore cela… (Elle se barbouille d’encre.) Oui, maintenant avec ces tâches, ce sera plus facile… Maintenant je suis une autre. Le Roi (bondissant de derrière le canapé). Ha ! Marguerite ! La Reine. Ignace