Analyse linéaire tristan et iseult - lecture analytique
Ce lyrisme est renforcé dans cette phrase complexe avec beaucoup de verbes de sentiments comme l.1 « fut touché », l.3 « sentit » et l.4 « s’apaiser ». Ces verbes nous prouvent l’acceptation du roi envers la mort des deux amants. On retrouve cette acceptation avec le groupe adverbal l.4 « comme naguère » qui fait référence au premier pardon du roi ayant eu lieu précédemment dans la « forêt du Morois ». La présence de la nature permet aussi d’apaiser les sentiments du roi. Enfin, il y a une répétition du mot « deux » l.2 et l.5 qui nous montre que les deux amants ne forment qu’un.Pour conclure cet argument, nous pouvons dire que dans ce passage, le pardon humain est le point