Année 1917
1ère Partie : Analyse de Documents : 1. Tout d’abord, les femmes se voient se confier des droits dans l’éducation. En effet, en 1861, Julie Daubié fut la première bachelière de France. Ce qui se révèle comme un grand pas pour la femme. Elles peuvent donc avoir accès aux études supérieures. Ce qui fut le cas aux Etats-Unis, en 1869, quand la première avocate apparut. Mais la femme n’eût pas ce diplôme sans combattre. D’ailleurs, beaucoup de femmes, avant elles, se sont battues pour pouvoir passer cet examen. Mais malgré tout, elles ne s’arrêtent pas là. Ensuite, dans la vie politique et sociale, elles s’émancipent tout doucement mais sûrement. En 1919, les salaires des femmes et des hommes deviennent les mêmes. L’homme n’a donc plus une hausse de salaire par rapport à la femme. On peut alors remarquer qu’une égalité apparaît entre les deux sexes. La femme est donc placée dans le même rang que l’homme. Toutefois, dans l’esprit des hommes, elle est et sera toujours cette personne inférieure. Enfin, leur but final a été atteint grâce au Droit de vote instauré au Royaume-Uni en 1918 pour les femmes de plus de trente ans, aux Etats-Unis en 1919 et en France en 1944. Dans la politique, la femme tout comme l’homme a sa place dans ce milieu, même si pour l’instant elle ne peut se présenter aux grandes élections.
2. L’enseignement féminin doit répondre à certains critères. En effet, quand les jeunes filles se rendent à l’école, ce n’est pas pour apprendre les maths ou autres sciences. « Il ne s’agit pas de faire de vous des savantes. », document 2, lignes 2 et 3. Elles y vont pour apprendre à entretenir et former un foyer. D’ailleurs sous la IIIème République de France, on peut remarquer que l’enseignement est différent selon les sexes. « Dans les écoles de filles, l’enseignement ménager doit occuper une place importante », document 2, lignes 9 et 10. On apprendra plus aux garçons, les matières qui seront utiles pour leur vie professionnelle. En