Application 17 ecconomie
27,5%
39,7%
Les deux premiers % peuvent donner 27,6 et 40 si vous le calculez en retirant tous les % de la colonne à 100% « total ». En fait, le total de chacune des 2 colonnes ne fait pas 100% mais 99,9 et 99,7 du fait des arrondis plus nombreux par défaut (à l’inférieur) que par excès.
En 2005, en France, 27,5% des opérations de déplacement de monnaie scripturale se faisaient à l’aide des chèques.
8,7% et 1,2% dans le 2e tableau.
En 2007, 8,7% de la monnaie scripturale déplacée l’était avec des chèques.
2) Les instruments de paiement cités constituent-ils une forme de monnaie ? Pourquoi ?
Non, le chèque, la carte bancaire, les TIP sont des intruments de déplacement de monnaie scripturale. Ils ne sont pas eux-mêmes monnaie. D’ailleurs, si on déchire un chèque, on ne perd pas de la monnaie.
3) Comparez l’évolution des paiements par carte en valeur et en nombre d’opérations par rapport aux chèques. Que constatez-vous ? Comment l’expliquez-vous ?
Les paiements par carte ont progressé en nombre d’opérations : + 900 000 en 2007
Ils ont augmenté aussi en valeur : + 50 000 millions d’euros mais pas en % du total => 1,5% en 2005 et 1,2% en 2007
Les paiements par chèque ont diminué en nombre d’opérations (- 260 000) mais leur part a diminué de 4 points (23,6 contre 27,5% en 2005) ; notons qu’en 1995, ce chiffre était de 46% !
Ils ont légèrement diminué en valeur (- 1 000 millions d’euros) soit une baisse de 4 points.
On constate que les cartes connaissent une évolution inverse de celle des chèques (hausse des paiements par carte, baisse des paiements par chèque).
On peut l’expliquer par plusieurs raisons :
- refus des chèques par certains commerçants totalement ou en dessous d’un certain montant en raison du risque de chèques faits à découvert sans autorisation de la banque ;
- facturation des envois