Apprend on à être moral?
Problèmes de forme :
Se fixer un timing, le suivre… il faut cesser de rendre des copies inachevées…
De même, veiller à faire un devoir équilibré (pas d’introduction démesurément longue, pas de « moignon » de conclusion).
Importance de la syntaxe, de l’orthographe, de la ponctuation… Cesser de mettre des majuscules partout ! (le terme « idée » doit être mis avec une majuscule seulement quand on se réfère à Platon
Par ailleurs, éviter les points d’exclamation…
Pauvreté du lexique… Eviter les barbarismes « Un peu d’amour de la langue mon Dieu ! »
Chaque terme introduit a une valeur philosophique… Il faut savoir retrouver les mots de base, aux champs sémantiques des mots…
Introduction
Progrès dans les amorces… Il faut néanmoins éviter le hiatus entre l’amorce et la construction du problème : il faut prendre appui sur l’amorce pour en dégager la construction du problème.
Ce qui reste encore complexe, c’est la construction du problème lui-même. C’est précisément ce qui doit constituer la plus grande partie de l’introduction.
Il faut énoncer le sujet (une interrogative directe ou indirecte)
Conclusion
On a pu trouver en cours de route des idées, avec le développement… Il faut absolument éviter de perdre le fil de sa pensée.
Elle doit s’achever sur l’énoncé du problème (et non du sujet posé). Il faut qu’on y retrouve le fil de l’introduction, si possible en en changeant la teneur.
Elle ne constitue pas le lieu de réflexions de dernière minute.
Contenu
Erreurs :
- indifférence à la teneur des morales (trop focalisé sur « apprendre », il fallait insister sur la « morale »). En effet, pour savoir comment apprendre la morale, il faut analyser la teneur de la morale elle-même.
Indifférence aux critères de la conduite, elle-même suspendue à un jugement. Il faut restituer l’argumentation de l’auteur, ses arguments clé
- manque de lucidité sur ses propres présupposés. Très souvent, l’introduction montre des présupposés