architecture moderne
La question écologique : un tournant pour l’architecture
Remerciements :
Tout d’abord, je tiens à remercier monsieur Desagre qui a réussi à additionner patience et calme jusqu’à la fin de l’élaboration de ce TFE.
Ensuite je souhaite remercier mes parents qui m’ont également aidé pour ce travail.
Enfin, je remercie mes maîtres de stage, Auffray Deghorain et Didier Rochmans, ainsi qu’un précieux informateur, Jean Langelet. Introduction
Il n’est pas simple de choisir ce que l’on va faire plus tard. Pour ma part, je m’oriente de plus en plus vers l’architecture, liée à la profession de mon père qui est géomètre. Ce choix est simplement dû au fait que la seule partie de mes études générales dans laquelle je me sens réellement à l’aise et intéressé reste la géométrie, les plans et tout ce qui s’y rapporte.
Cette idée qui, un beau jour, m’a traversé la tête, s’installe et s’enracine de plus en plus dans mon esprit. Il en est de même du sujet de ce TFE, « l’architecture écologique », car plus j’y pense et plus je me dis qu’il en va de l’avenir de la planète. En effet, il me semble que tout ce qui concerne la maison passive, à basse énergie ou autres modes de construction écologique constitue l’avenir de l’architecture. Et si mes convictions se révélaient utopiques, cela serait bien triste pour l’environnement. Laissant cette idée peu réjouissante de côté, j’espère pouvoir apprendre, débuter et persister dans le domaine de l’architecture, de préférence, écologique.
C’est pourquoi je me pose cette question : « Pourquoi n’impose-t-on pas des modes de construction écologique ? ». A première vue, ce type de constructions devrait revenir moins cher à long terme grâce au peu d’énergie consommée. Je me lancerai donc dans la recherche d’informations afin de pouvoir me faire une idée claire et précise sur chaque genre d’habitation et d’en faire la comparaison. J’espère pouvoir ainsi démontrer à la fin de ce