Le second document est également un extrait d’un livre, « histoire romaine ».
Il s’agit du régime politique romain vu par un citoyen d’origine grecque. Il est rédigé au III.ème siècle après JC par Dion cassius, un citoyen romain issu d’une riche famille grecque, ayant accédée a la citoyenneté romaine
Au IIIe siècle, Rome est gouvernée par Caracalla, auteur de l’édit de Caracalla, qui étend la citoyenneté romaine à tous les hommes libres de l’empire Romain.
Comme a athènes, la citoyenneté était très limitée dans l’empire Romain

Aristote décrit la démocratie Athénienne. Selon lui, le liberté est « le principe fondamental du régime politique démocratique » et une « des marques de la liberté, c’est d’être tour à tour gouverné et gouvernant », Ce qui évoque les stratèges : ces magistrats ont beaucoup de pouvoir pendant un an et sont élus par les membres de l’écclésia. en effet, sous sa démocratie, Périclès a sans cesse tenté de rendre le système plus égalitaire entre les habitants. Là repose la « justice démocratique » . Aristote écrit que le « souverain c’est forcement la masse populaire ». cette phrase montre l’importante place des citoyens dans la cité, car ayant une partie du pouvoir politique, le système repose sur eux. Il insinue ensuite que « les pauvres sont plous puissants que les riches » car ils sont « plus nombreux , et l’autorité souveraine c’est la décision de la majorité ». en effet, théoriquement, quelque soit son niveau de richesse, toutes les fonctions sont accessibles aux citoyens. Ayant un droit politique, Chaque citoyen détient une petite partie du pouvoir politique. Il peut intervenir sans intermédiaire dans les affaires de la cité, il s’agit de la démocratie direct.
De plus, Aristoste énumère ce qu’il appel « les règles caractéristiques de la démocratie » : une « éléction de maagistrats faite par tous ». les magistrats sont élus par les membres de l’écclesia, composée d’une assemblée de tous les citoyens, les citoyens constituent donc