Article torture voltaire
Introduction:
Au XVIIIe, durant le mouvement des philosophe des lumières Tout en collaborant à l'Encyclopédie, Voltaire rédige un dictionnaire, le Dictionnaire philosophique. L'article "TORTURE" dénonce une pratique inhumaine et scandaleusement injuste, systématique dans les procès. Voltaire appuie sa démonstration avec un exemple bien connu à l'époque
Plan:
Premier paragraphe : l'inhumanité de la torture
L'allusion au romain permet de justifier de façon historique la torture. Les personnes torturées au XVIIIe sont comme à l'époque des romains telle des esclaves. Leur états physique est d'ailleurs souligné par les adjectifs hâve pâle et défait ainsi que trois expressions renforçant l'état délabré dans lequel ils sont ( "yeux mornes", "barbe longue et sale", "couvert de vermine"...). Ensuite Voltaire expose les conditions de la torture, il met en évidence la perversion du conseillers ( "se donne le plaisir" ) , montre la diversité des sévices ( "grande et petite torture") et explique la nécessité du médecin (qui lui tâte le pouls) permettant le prolongement du plaisir. La citation Des Plaideurs "Cela fait toujours passer une heure ou deux" montre que la torture est ici un simple passe temps, un amusement.
Deuxième paragraphes : la banalisation de la torture
Le magistrat semble avoir acquit le droit de torture par l'argent (Le grave magistrat qui a acheté pour quelque argent le droit de faire ces expériences sur son prochain )
La torture paraît d'abord banale pour le magistrat qui en fait un sujet de conversation avec sa femme (va conter à dîner à sa femme). D'abord révoltée, celle-ci s'y habitue très vite (à la seconde elle y a pris goût) et le sujet finit par être récurent à l'intérieur du couple et paraît d'une banalité affligeante (n'avez-vous fait donner aujourd'hui la question à personne ?)
Troisième paragraphe : l'exemple du chevalier de la Barre.
Ce paragraphe est écrit d'une seule phrase, permettant