Aspects de la guerre candide

331 mots 2 pages
La guerre a été racontait par l'écriture depuis l'invention de l'écriture. Au début cela était pour raconter les exploits des cités ou bien de certains personnages, mais au cours du siècle les Lumières les auteurs ont développés la critique sociale.
Avec le développement de la critique sociale, les auteurs ont pu exprimer leurs opinions, mais aussi dénoncer des actes, des aspects, des comportements...
En temps de Monarchie absolue, il est bien entendu qu'une attaque frontale et direct n'est pas envisageable.
C'est donc pour cela que l'auteur du texte A, le carnage de la guerre à travers les yeux de son personnage Candide. Il emploi ici le traitement naturaliste lorsqu'il s'agit de décrire les horreurs de la guerre faites aux civils et aux personnes totalement démunies « Ici des vieillards criblés de coups regardaient mourir leurs femmes égorgées, qui tenaient leurs enfants à leurs mamelles sanglantes », « là des filles éventrées après avoir assouvi les besoins naturels de quelques héros rendaient les derniers soupirs », « d’autres, à demi brûlées, criaient qu’on achevât de leur donner la mort ». C'est véritablement à une boucherie que Candide est confronté.
Au cours des siècles suivant, ce développement de la critique sociale effectué par les auteurs n'a fait que croître jusqu'à ce que les auteurs puissent dénoncer eux-mêmes des faits et non le faire au-travers des personnages. C'est le cas pour le texte B où Boris Vian (poète, romancier, critique musical et chansonnier) dénonce ouvertement les conditions de la guerre « ajourné à la suite d’une maladie de coeur, je ne me suis pas battu, je n’ai pas été déporté, je n’ai pas collaboré - je suis resté, quatre ans durant, un imbécile sous-alimenté parmi tant d’autres » et les intérêts politiques de celle-ci « S’il s’agit de tomber hasard d’un combat ignoble sous la gelée de napalm, pion obscur dans une mêlée guidée par des intérêts politiques, je refuse et je prends le maquis.
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